Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La direction de Desa et le syndicat Deri Is signent un protocole d’accord Paris, le 15 septembre 2009 - Après une année de campagne de solidarité et de soutien aux travailleurs illégalement licenciés par Desa, une entreprise turque sous-traitante notamment de la marque Prada, Peuples Solidaires et le Collectif Ethique sur l’étiquette (ESE) sont heureux d’annoncer l’issue victorieuse de cette campagne. Dans un protocole d’accord signé entre Desa et le syndicat turque Deri Is, la (...) lire
date de mise en ligne : 22 septembre 2009
Critiquée pour les conditions de travail dans ses usines de Bangalore (Inde), Fibre and Fabrics International, une entreprise indienne fournissant des marques européennes, veut faire imposer le silence plutôt que de respecter les droits des travailleurs. Elle a déposé plainte contre des collaborateurs de la Campagne Vêtements Propres internationale pour actes diffamatoires, xénophobes et crime cybernétique, devant un tribunal de Bangalore (Inde su Sud). Les organisations concernées sont la Clean (...) lire
date de mise en ligne : 19 décembre 2007
Déclaration syndicale en vue du Sommet UE-Afrique
> 1ère Rencontre syndicale Europe – Afrique, Lisbonne 26 et 27 octobre 2007
Un sommet syndical de deux jours a abordé les relations entre l’Europe et l’Afrique à Lisbonne, au Portugal, en présence de plus de 60 dirigeants syndicaux d’Afrique et d’Europe, dans la perspective d’un sommet Union européenne (UE) – Union africaine (UA) prévu pour les 8 et 9 décembre, au cours duquel doit être adoptée une stratégie conjointe pour l’avenir et la coopération existant entre les deux continents. 1. Les syndicats de la CSI et de la CES se félicitent que les chefs d’État et de gouvernement des (...) lire
date de mise en ligne : 14 novembre 2007
L’Union syndicale Solidaires a rédigé une première trame décrivant l’état du droit à un emploi en France. A travers des éléments statistiques, l’accès à un emploi est conditionné par les origines sociale et raciale de la personne. Les inégalités sociales et la discrimination liée à l’origine sont les principales tendances du marché du travail en France. Celles-ci s’intensifient davantage avec la montée de l’insécurité de l’emploi. L’article termine sur l’énumération de plusieurs mesures qu’il faudrait envisager (...) lire
date de mise en ligne : 17 septembre 2007
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Cette fiche fait partie des supports nécessaires à la rédaction d’un rapport parallèle sur la situation des droits économiques, sociaux et culturels de la France, initié par le CRID, la FIDH et la LDH. Elle présente ce qu’entend le Comité des DESC sur le respect des conditions de travail ainsi que les réponses de la France face aux recommandations du Comité. Les positions du CRID, de la FIDH et de la LDH sont présentées pour révéler plusieurs atteintes aux conditions de (...) lire
date de mise en ligne : 9 août 2007
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Depuis le début du XXe siècle, le droit international s’est enrichi de différents instruments de protection des travailleurs migrants et de leur famille. Néanmoins, ces instruments restent peu reconnus et doivent lutter pour s’imposer contre une nouvelle doctrine politique qui tend à proposer des droits relatifs et différents selon les catégories de migrants. Un appel à la vigilance. Le besoin de normes et mesures internationales de protection des travailleurs hors de leur pays d’origine a été (...) lire
date de mise en ligne : 12 juin 2007
> Communiqué de presse
Pour les droits des travailleurs migrants, la France doit ratifier la convention internationale des Nations Unies Le 18 décembre 2006, des associations de défense des droits de l’Homme se sont mobilisées, à l’initiative d’Emmaüs International, pour appeler à la ratification par la France de la « Convention internationale des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille ». 21 mars 2007 : la Journée Mondiale contre le Racisme est l’occasion de réaffirmer l’importance de (...) lire
date de mise en ligne : 20 mars 2007
> Sylvie Touboul
C’est une première. Un sénateur démocrate américain a déposé, le 8 juin 2006, une proposition de loi au Congrès visant à rendre illégal tout import, export, et vente de biens produits dans les sweatshops, ces « usines à sueur » où les droits de l’homme sont bafoués. Même si la loi a peu de chances de passer, une telle mobilisation politique est un signe fort appelant à une meilleure éthique dans le commerce mondial. « Un événement sans précédent ». C’est ainsi que le National Labor Committee (NLC), la (...) lire
date de mise en ligne : 12 octobre 2006
> Peuples Solidaires
http://www.peuples-solidaires.org/ar (...)
Il y a peu d’endroits au monde où Coca-Cola, leader mondial de la boisson gazeuse, ne soit pas encore implanté. Chaque jour, il se consomme 1,2 milliard de bouteilles de sodas sorties de ses usines et filiales, une pour cinq habitants de la planète. Mais chaque jour également, les droits humains sont bafoués dans l’empire Coca-Cola. Répression de syndicalistes en Colombie et au Guatemala ; pollution des nappes phréatiques et intoxication des consommateurs en Inde... Les accusations pleuvent sur la firme. Cependant, loin de baisser les bras, les mouvements de protestation s’organisent et obtiennent des résultats concrets. Aujourd’hui, ce sont les ouvriers de la brasserie La Couronne - Coca-Cola, en Haïti, qui ont besoin de notre solidarité. Appuyés par le syndicat Batay Ouvriye, ils lancent un appel pour faire face à la "pratique répressive générale contre les travailleurs" de l’entreprise. lire
date de mise en ligne : 28 août 2006
CISL - ICFTU
> Libération Afrique, juin 2006
http://www.liberationafrique.org/spi (...)
Le rapport 2006 de la CISL sur les violations des droits syndicaux démontre que l’Afrique est le théâtre d’une répression antisyndicale de plus en plus agressive . Parmi les traits les plus significatifs de cette répression qui touche les plus pauvres du continent, le rapport démontre l’échec de la plupart des gouvernements à respecter les droits de leurs propres employés concernant le droit d’organisation, de grève ou de convention collective. Les restrictions au droit de grève imposées par les secteurs privé et public obligent en pratique les travailleurs à agir dans l’illégalité lorsqu’ils ont recours à ce mode d’action et la répression qui s’en suit est des plus violentes avec des issues parfois fatales.
D’après le rapport, en Ethiopie, les employés du secteur public n’ont tout simplement pas le droit de former un syndicat. Alors que l’éducation est une clef essentielle pour sortir de la pauvreté, le corps enseignant a particulièrement été touché par la répression en 2005. L’Association éthiopienne des enseignants est toujours une cible de choix, elle qui voit ses membres arrêtés, détenus et accusés de haute trahison. Ce secteur n’est pas touché qu’en Ethiopie. En Algérie, une grève des professeurs d’université a été déclarée illégale à trois reprises et des dirigeants syndicaux enseignants du Cameroun ont fait l’objet d’intimidations.
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date de mise en ligne : 5 juillet 2006
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> Entretien réalisé en 1998 avec Josette Trat, sociologue à l’université de Paris VIII et membre du Geddist (groupe étude de la division sexuelle et sociale du travail). Parue dans le livre "Syndicalement incorrect : Sud-Ptt, une aventure collective", éd. Syllepse 1998. Avec Marie-Hélène Zylberberg-Hocquart, Josette Trat a récemment réalisé (en 2000) une enquête intitulée "La participation des femmes aux instances de décision des syndicats à différents niveaux".
http://www.penelopes.org/xarticle.ph (...)
Résumé : « Les organisations syndicales ont une responsabilité fondamentale dans la lutte pour les droits des femmes. Le salariat féminin a considérablement évolué ces dernières années. Les femmes représentent aujourd’hui 46% de la population salariée mais 79% des plus bas salaires. Elles sont surtout arrivées massivement dans les nouveaux secteurs du salariat (services, tertiaire...). Elles ont obtenu l’accès à des métiers longtemps réservés aux hommes. Même les mères de famille ont conquis le monde du travail, repoussant les murs derrière lesquels la société envisageait de les reléguer. Cependant, pour l’essentiel, les inégalités persistent, se renforcent même parfois. » lire
date de mise en ligne : 23 février 2005
http://www.ilo.org/dyn/declaris/DECL (...)
Selon ses propres mots, la Déclaration de l’OIT relative aux principes et droits fondamentaux au travail a pour objectif d’assurer que le progrès social accompagne le progrès de l’économie et du développement.
Adoptée en 1998, elle oblige les Etats Membres, qu’ils aient ou non ratifié les conventions correspondantes, à respecter et à promouvoir les principes et les droits classés en quatre catégories : la liberté d’association et la reconnaissance effective du droit de négociation collective, l’élimination de toute forme de travail forcé ou obligatoire, l’abolition effective du travail des enfants, l’élimination de la discrimination en matière d’emploi et de profession.
date de mise en ligne : 27 décembre 2004
> Communiqués de presse du BIT, 2004
http://www.ilo.org/public/french/bur (...)
Un récent rapport du BIT (Bureau international du Travail) intitulé « La sécurité économique pour un monde meilleur » montre que la sécurité économique favorise le bien-être, le bonheur et la tolérance, et est bénéfique pour la croissance, le développement et la stabilité sociale. Cependant, ajoute le rapport, cette sécurité économique reste hors de portée des trois-quarts des travailleurs du monde.
date de mise en ligne : 20 octobre 2004
> in Economies et Sociétés, Série « Economie du travail », A.B., 1998, n°20, pp. 5-59, 47p.
http://harribey.u-bordeaux4.fr/trava (...)
La période de chômage endémique suscite la discussion autour des notions de travail, d’emploi et d’activité mais le plus souvent en entretenant une confusion qui empêche de formuler des propositions cohérentes. Ainsi, la pleine activité est censée remplacer le plein emploi disparu en considérant que l’aspiration à s’insérer dans un emploi à part entière, avec le statut, les droits et la rémunération correspondants, n’est plus exprimée par les travailleurs. Le présent article s’efforce de montrer que les présupposés théoriques de ces affirmations sont contestables et qu’ils ne peuvent conduire qu’à un approfondissement des clivages sociaux ; il propose une clarification des définitions et de l’usage de ces notions ; et il suggère enfin de revisiter la théorie de la valeur en tant que théorie des rapports sociaux pour fonder une réduction des inégalités de la répartition du travail et des revenus dans une perspective d’équité intra et intergénérationnelle. lire
date de mise en ligne : 8 juillet 2004
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