Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
> Chico Whitaker, le 31 janvier 2010
Dans moins d’une semaine la marche d’ouverture du Forum Social Mondial de 2011 commencera à remplir les rues de Dakar, au Sénégal. Les caravanes qui croiseront l’Afrique pour y arriver ont déjà laissé leurs points de départ.Les multiples délégations venant des autres continents – dont quelques unes réunissant plusieurs centaines de personnes, d’autres plus modestes à cause du plus long chemin à faire – commencent à fermer leurs valises pour prendre les avions. Les membres des organisations africaines qui (...) lire
date de mise en ligne : 3 février 2011
Communiqué de Survie, le 23 février 2010. Ce 23 février, 5 ans après la loi portant sur le rôle positif de la présence française outre-mer, Survie lance la campagne Libérons-nous de 50 ans de Françafrique afin de rétablir certaines vérités sur ces 50 ans d’ « indépendances » et de relations franco-africaines. En déclarant « 2010, année de l’Afrique », Nicolas Sarkozy prend le prétexte du cinquantenaire des indépendances africaines pour célébrer « l’achèvement d’une rénovation profonde de nos relations avec le (...) lire
date de mise en ligne : 25 février 2010
Communiqué de presse de Médecins du Monde. Malgré les efforts de la présidence japonaise pour faire de la santé en Afrique un des thèmes prioritaires de ce G8, le sommet d’Hokkaido pourrait au contraire se révéler être le sommet de toutes les désillusions en la matière. Lire lire
date de mise en ligne : 17 septembre 2008
Communiqué de Survie, le 21 mars2008 Le dessaisissement de Jean-Marie Bockel du portefeuille de Secrétaire d’Etat à la Coopération, dans le cadre du remaniement ministériel post-municipales, est une véritable sanction à l’encontre de celui qui avait annoncé en janvier dernier vouloir « signer l’acte de décès de la Françafrique ». Dans une dépêche de l’AFP du 19 mars, un ministre affirmait qu’il n’excluait pas « qu’il y ait eu des pressions, notamment d’Omar Bongo (président du Gabon), pour faire partir (...) lire
date de mise en ligne : 25 mars 2008
Hors d’Afrique, la décennie des années 1970 voit un recul géopolitique des grandes puissances, notamment des États-Unis, après les revers subis au Vietnam (1975), au Nicaragua et en Iran (1979). De plus, les revendications qui sont exprimées en Occident, principalement lors des grèves et des manifestations de l’année 1968, ont apporté quelques avancées sociales et les profits du capital commencent à être moindres. Les détenteurs de capitaux estiment alors qu’une reprise en main est nécessaire. L’Afrique (...) lire
date de mise en ligne : 17 décembre 2007
Déclaration syndicale en vue du Sommet UE-Afrique
> 1ère Rencontre syndicale Europe – Afrique, Lisbonne 26 et 27 octobre 2007
Un sommet syndical de deux jours a abordé les relations entre l’Europe et l’Afrique à Lisbonne, au Portugal, en présence de plus de 60 dirigeants syndicaux d’Afrique et d’Europe, dans la perspective d’un sommet Union européenne (UE) – Union africaine (UA) prévu pour les 8 et 9 décembre, au cours duquel doit être adoptée une stratégie conjointe pour l’avenir et la coopération existant entre les deux continents. 1. Les syndicats de la CSI et de la CES se félicitent que les chefs d’État et de gouvernement des (...) lire
date de mise en ligne : 14 novembre 2007
> Revue "Vingtième siècle. Revue d’histoire", n°89, janvier-mars 2006.
Dans le cas des conflits africains, la question de l’enfance en guerre a d’abord été l’apanage des organisations humanitaires. L’intérêt pour cette question est d’ailleurs relativement récent. Dans les années 1990, l’Afrique subsaharienne a été marquée par une longue série de conflits civils (au Libéria, en Sierra Leone, en Somalie, au Burundi, au Rwanda, au Congo, au Soudan, en Côte d’Ivoire, etc.). L’emploi massif d’enfants soldats constitue, pour l’opinion internationale, l’une des caractéristiques (...) lire
date de mise en ligne : 11 janvier 2007
> L’écrivain et historien burkinabé est mort le 4 décembre. Retour sur un entretien de Christine Sitchet (L’Humanité) avec Joseph Ki-Zerbo à Paris en 2003.
« La lutte continue ! » se plaisait-il à répéter à la fin de ses nombreuses interventions politiques. Sans avoir jamais baissé les bras, Joseph Ki Zerbo, âgé de 84 ans, s’est éteint à son domicile de Ouagadougou lundi 4 décembre. Eminent historien, homme politique, militant engagé (le plus souvent dans l’opposition), Ki Zerbo était avant tout un homme de culture et de savoir que les Burkinabés avaient surnommé « le professeur ». Premier agrégé africain en histoire, il n’aura eu de cesse durant toute sa (...) lire
date de mise en ligne : 15 décembre 2006
> Institut de Recherche pour le Développement (IRD,) fiche n°250, septembre 2006
http://www.ird.fr/fr/actualites/fich (...)
L’apparition depuis les années 1980 de formes parasitaires résistantes aux traitements antipaludéens préconisés dans les pays d’Afrique, remet en question les stratégies déployées pour lutter contre le paludisme dans ces zones d’endémie. Au Cameroun, où le suivi de l’évolution des résistances est rendu complexe par la diversité des paysages et des climats, des chercheurs de l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement) et de l’OCEAC (Organisation de Coordination pour la lutte contre les endémies en Afrique Centrale) ont comparé, entre 1999 et 2004, l’efficacité de trois monothérapies usuelles (chloroquine, amodiaquine et sulfadoxinepyriméthamine) chez des enfants de douze localités du pays. lire
date de mise en ligne : 8 décembre 2006
CISL - ICFTU
> Libération Afrique, juin 2006
http://www.liberationafrique.org/spi (...)
Le rapport 2006 de la CISL sur les violations des droits syndicaux démontre que l’Afrique est le théâtre d’une répression antisyndicale de plus en plus agressive . Parmi les traits les plus significatifs de cette répression qui touche les plus pauvres du continent, le rapport démontre l’échec de la plupart des gouvernements à respecter les droits de leurs propres employés concernant le droit d’organisation, de grève ou de convention collective. Les restrictions au droit de grève imposées par les secteurs privé et public obligent en pratique les travailleurs à agir dans l’illégalité lorsqu’ils ont recours à ce mode d’action et la répression qui s’en suit est des plus violentes avec des issues parfois fatales.
D’après le rapport, en Ethiopie, les employés du secteur public n’ont tout simplement pas le droit de former un syndicat. Alors que l’éducation est une clef essentielle pour sortir de la pauvreté, le corps enseignant a particulièrement été touché par la répression en 2005. L’Association éthiopienne des enseignants est toujours une cible de choix, elle qui voit ses membres arrêtés, détenus et accusés de haute trahison. Ce secteur n’est pas touché qu’en Ethiopie. En Algérie, une grève des professeurs d’université a été déclarée illégale à trois reprises et des dirigeants syndicaux enseignants du Cameroun ont fait l’objet d’intimidations.
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date de mise en ligne : 5 juillet 2006
> Walfadjri L’Aurore, 7-8 Septembre 2002
http://sanoumbaye.free.fr/blog/index (...)
Le Nepad, le Nouveau partenariat pour le développement économique de l’Afrique a été adopté aussi bien par la majorité des pays africains que par les pays occidentaux. Les ballets aériens autour du NEPAD aux quatre coins du monde, les multiples réunions qui lui sont consacrées y compris celle du G8, les déclarations optimistes unanimes que suscite cette nouvelle initiative auraient été de bon augure si deux hiatus de taille n’en ternissaient la crédibilité et la viabilité.
Le premier hiatus tient au mode de financement de ce partenariat, qui repose sur la communauté internationale, les investissements directs étrangers (Ide) et le secteur privé. Le second hiatus porte sur le financement des quatre secteurs choisis : les infrastructures, l’agriculture, l’éducation et la santé qui constituent le programme opérationnel du Nepad. Or en l’absence d’accès aux marchés des capitaux, les pays du continent noir n’ont pas eu d’autre solution que de sous-traiter leur développement avec les institutions de Bretton Woods et la Banque africaine de développement, seules sources de financement qui leur restaient si l’on exclut les financements bilatéraux.
date de mise en ligne : 29 juin 2006
> Le Diplomate
http://www.planeteafrique.com/Web/Le (...)
En 1996 seulement, 14 des 53 pays d’Afrique ont connu des conflits armés et depuis 1970, il y a eu sur le continent africain plus de 30 guerres qui, dans leur majorité, ont été des conflits internes. Ces conflits ont été responsables de "plus de la moitié de tous les décès causés par des conflits dans le monde entier" et ont fait plus de 8 millions de réfugiés et de personnes déplacées, selon une source de l’ONU.
La plupart de ces conflits sont des « conflits de mal gouvernance » et peuvent être analysés à partir du caractère conflictuel de la participation populaire aux institutions politiques. L’auteur recommande, pour sortir de ces crises, d’associer aux solutions institutionnelles des mécanismes locaux et de garder à l’esprit le rôle de la corrélation entre l’exploitation et la gestion des matières premières d’un pays et le maintien de la paix et de la sécurité.
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date de mise en ligne : 29 juin 2006
> Project Syndicate, novembre 2004
http://sanoumbaye.free.fr/blog/index (...)
Les conditions choquantes de pauvreté et de vie de l’Afrique Noire ont été exposées à maintes reprises à la télévision et sur Internet. Mais ces images atroces ne représentent que les symptômes d’une maladie sous-jacente (et en grande partie passée sous silence) : la fuite des capitaux.
Cette fuite s’explique par un nombre incalculable de causes : le service de la dette, l’attribution aux entreprises étrangères de quasiment tous les contrats financés par des prêteurs multilatéraux (et les exonérations des taxes et des droits sur ces biens et services), des termes d’échange défavorables, la spéculation, le libre transfert des profits, les réserves de devises détenues dans des comptes étrangers, et les capitaux privés nationaux canalisés vers l’étranger. Selon l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (UNIDO), chaque dollar injecté dans la région génère une sortie de 1,06 dollars.
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date de mise en ligne : 28 mars 2006
> Mercredi 8 février 2006
http://www.survie-france.org/article (...)
La politique de la France en Afrique : "domaine réservé" du chef de l’Etat. Il est communément admis que la politique africaine de la France, comme sa politique étrangère, relève du "domaine réservé" du Chef de l’Etat. C’est une pratique aussi ancienne que la Vème République, au point que nos élus se conduisent comme si ce concept du "domaine réservé" était inscrit dans la Constitution française, et qu’une réforme en ce sens nécessitait au préalable une révision de la Loi fondamentale. Or ce fonctionnement n’est ni plus ni moins qu’une "tradition française", héritée de la monarchie, que les Présidents français se sont appropriée.
Survie demande que la politique extérieure de la France soit soumise aux règles élémentaires de démocratie, à commencer par un contrôle accru et effectif du Parlement. Elle invite les citoyens français à interpeller leurs élus pour que ces derniers jouent pleinement ce rôle de contrôle.
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date de mise en ligne : 2 mars 2006
> Dossier Inf’OGM n°68, octobre 2005
http://www.infogm.org/article.php3?i (...)
Les plantes génétiquement modifiées sont nées aux Etats-Unis, dans les années 90. Progressivement, les surfaces dédiées à ce type d’agriculture se sont répandues à travers le monde. L’ISAAA (International Service for the Acquisition of Agri-Biotech Applications), un organisme international de promotion des PGM, note, dans son rapport de 2005, que parmi les quelques 8,25 millions d’agriculteurs, 90% vivent dans des pays en développement. D’une part, parmi ces pays en développement, l’ISAAA inclut l’Argentine et le Brésil qui possèdent des exploitations agricoles de plusieurs milliers d’hectares et d’autre part, en termes de surface, plus de 65% des PGM sont cultivés en Amérique du Nord et 28% en l’Amérique du Sud. Il reste donc peu de place pour les 14 autres pays... Et l’Afrique ? Seule l’Afrique du Sud a autorisé les cultures commerciales de PGM, quelques pays font de la recherche en biotechnologies, généralement soutenue financièrement par l’industrie ou la coopération états-uniennes, et la plupart reçoivent des PGM via l’aide alimentaire. C’est donc par la petite porte que les OGM entrent en Afrique, dans un contexte opaque, où les réglementations sont déficientes, les scientifiques mal formés et sous équipés... Ce dossier d’Inf’OGM s’attache à comprendre concrètement les mécanismes en jeu qui ont rendu possible cet état de fait. lire
date de mise en ligne : 1er mars 2006
> Jounal du sida, n°177, juillet 2005
http://www.arcat-sante.org/publi/art (...)
Dans son rapport annuel sur la situation épidémiologique de la tuberculose dans le monde, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se félicite des résultats de la stratégie « DOTS » (Directly Observed Therapy, Short-course treatment), fer de lance du programme mondial de lutte contre la tuberculose. Pourtant, deux ombres restent au tableau : une augmentation rapide du taux de prévalence en Afrique et la montée progressive des cas de pharmacorésistance aux traitements antibiotiques habituels. lire
date de mise en ligne : 23 décembre 2005
> Forum social africain, troisième édition, Lusaka, du 10 au 14 décembre 2004
http://www.africansocialforum.org/ar (...)
« Faut-il embarquer dans le bateau du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad) ou rester à quai ? » Si le constat est clair (le Nepad ne vise qu’à créer environnement propice aux investissements étrangers ou, selon les mots Oduor Ongwen, il « n’est rien d’autre qu’un lifting cosmétique pour embellir l’Afrique afin de mieux la vendre aux multinationale »), les perspectives pratiques diffèrent : les organisations de la sociétés civiles doivent-elles prendre part au partenariat pour essayer d’en influer le cours ou la critiquer de l’extérieur ? lire
date de mise en ligne : 12 septembre 2005
http://www.liberationafrique.org/spi (...)
Traduction française d’un article paru sur le site Jubilee South.
Alors que les Ministres des Finances du G7 ont pris une décision, qui aurait dû intervenir depuis longtemps, pour annuler certaines des dettes multilatérales de 18 pays parmi les plus pauvres, ils ont en même temps renforcé leur contrôle sur ces pays, au détriment des citoyens de ceux-ci. C’est le résultat de la réunion des Ministres des Finances du G7, tenue les 10 et 11 juin 2005.
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date de mise en ligne : 1er juillet 2005
date de mise en ligne : 1er juillet 2005
> CRDI Explore, 22 février 2005
http://www.idrc.ca/fr/ev-71249-201-1 (...)
Depuis 1990, l’Afrique a perdu 20 000 spécialistes par année et plus de 300 000 spécialistes africains habitent aujourd’hui hors de leur continent d’origine, pendant que 35% de d’aide publique au développement destinée à l’Afrique sert à payer des spécialistes étrangers. Ces chiffres préoccupants cachent d’autres réalités de l’exode accéléré des cerveaux africains : la baisse du niveau des soins et de l’enseignement, la baisse continue de la part de l’Afrique dans la production scientifique mondiale (« Il y a plus de scientifiques et d’ingénieurs africains aux États-Unis qu’en Afrique », déplore l’auteur), ou encore l’érosion de la classe moyenne africaine.
Cet article, basé sur un rapport de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) des Nations unies, expose également les solutions envisagées pour arrêter l’hémorragie. Entre autres la participation virtuelle de la diaspora, « qui consiste à contribuer à l’épanouissement de son pays sans y revenir »), semble préférable à son hypothétique rapatriement.
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date de mise en ligne : 29 juin 2005
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> Séminaire organisé par l’AITEC, le GRESEA et IRENE, 17 et 18 mai 1999
http://aitec.reseau-ipam.org/spip.ph (...)
Le séminaire avait comme objectif de dresser le réquisitoire en termes de violations des droits des peuples imputables aux multinationales du pétrole en Afrique, de dégager les moyens techniques et juridiques utilisables à l’avenir pour les contraindre à modifier leur comportement et de réfléchir à l’élaboration d’actions de mobilisation citoyenne.
Il propose ainsi des analyses de la situation économique et politique des pays africains producteurs de pétrole, les outils juridiques pour fonder en droit les responsabilités des multinationales du pétrole et les moyens de sensibilisation, de mobilisation et d’action contre ces multinationales.
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date de mise en ligne : 14 juin 2005
> Mouvements et enjeux sociaux, revue de la Chaire de dynamique sociale de l’Université de Kinshasa, n°003, janvier-février 2002, PDF, 7p.
http://www.grandslacs.net/doc/3286.p (...)
Le continent africain est le premier producteur de réfugiés au monde (15 millions au 1er janvier 2003 selon le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés). On convoque souvent pour justifier ces chiffres des causes économiques (absence de structures économiques viables, inégale répartition du produit national, conséquences des ajustements structurels imposés par les Institutions financières internationales), et des causes socio-culturelles (graves violations des droits de l’homme, insatisfaction des besoins primaires, intolérance et intégrisme religieux, répression des mouvements d’émancipation). Selon l’auteur les véritables causes sont politiques, sur ce continent où le pouvoir politique est souvent accaparé par une classe dominante, où le monopartisme, le clientélisme et les dérives autoritaires sont fréquentes et où les affrontements armés touchent directement ou indirectement un tiers de ses 54 Etats. lire
date de mise en ligne : 9 mai 2005
> InfoSud, 31 janvier 2005
http://www.infosud.org/showArticle.p (...)
Après le Brésil, c’est le tour de l’Afrique. Des milliers de mouvements sociaux de toute la planète se rencontreront pour "changer le monde", au Maroc en 2006, puis en Afrique noire en 2007. Le Kenya et le Mali sont sur les rangs. lire
date de mise en ligne : 16 février 2005
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> Syfia Suisse, 20 janvier 2005
http://www.alternatives.ca/article16 (...)
L’ONU redoute que la mobilisation en faveur des victimes d’Asie ne fasse oublier les autres urgences planétaires, notamment en Afrique. Comment transformer ce coup de cœur en effort durable ? Une question à 50 milliards de dollars pour les stratèges de Kofi Annan. lire
date de mise en ligne : 16 février 2005
> Cahiers du GEMDEV, n°24, Juin 1996
http://www.gemdev.org/publications/c (...)
Les contributions à ce numéro des Cahiers sont regroupées autour de trois "besoins d’Etat" constatés. La première partie aborde ainsi la question des conditionnalités et des divergences entre bailleurs de fonds face à l’Etat africain. La deuxième montre que le "besoin de légitimité" ne peut être trouvé que par l’indigénisation de l’Etat. Enfin, la troisième partie questionne la notion de sécurité.
Certes très universitaire et académique tant dans son fond que dans sa forme, ce numéro des Cahiers du GEMDEV propose des réflexions pertinentes sur l’Etat africain.
Sommaire
date de mise en ligne : 14 février 2005
> Les mythologies de la francophonie, revue en ligne, 2001, 13p. (pdf)
http://www.interfrancophonies.org/re (...)
Après un retour sur les justifications des entreprises européennes de colonisation au 19ème siècle, l’auteur examine le travail historique, mais aussi artistique, conduit en Europe comme en Afrique pour restituer la mémoire du colonialisme, en ex-Zaïre en particulier. lire
date de mise en ligne : 23 décembre 2004
> Paru dans GEMDEV (éd.), Les avatars de l’État en Afrique, Paris, Karthala, 1997, p 153-160
http://www.dhdi.free.fr/recherches/g (...)
« Sur la base d’une structure tri-fonctionnelle associant à chaque échelle internationale, nationale et locale un type de “besoin d’Etat” spécifique, ce groupe de recherche a posé qu’à l’échelle nationale c’est un besoin de légitimité qui apparaît comme le premier facteur à prendre en considération à l’époque contemporaine. Outre le besoin d’efficacité émis à l’échelle internationale et le besoin de sécurité ardemment recherché par les acteurs locaux, il y a un déficit fondamental de légitimité à combler pour que les sociétés retrouvent à l’échelle de la nation en construction leur capacité à se situer dynamiquement dans l’histoire. » lire
date de mise en ligne : 19 juillet 2004
> Rapport, juillet 2002
http://www.africanti.org/IMG/externe (...)
« L’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) en général s’est accrue rapidement dans la plupart des zones urbaines africaines. Pour information, il y a seulement 4 ans, seuls une poignée de pays avaient un accès local à Internet, alors qu’aujourd’hui l’Internet est disponible dans chaque capitale. Il y a désormais autant de téléphones cellulaires sur le continent qu’il y a de lignes fixes, des centaines de nouvelles radio locales ou communautaires ont été ouvertes, et la télévision par satellite est également largement disponible. Mais malgré les tendances encourageantes apparues ces dernières années, les différences entre les niveaux de développement de l’Afrique et le reste du monde sont encore plus grande dans le domaine des TIC qu’elles ne le sont lorsqu’on utilise les mesures plus traditionnelles du développement. » lire
date de mise en ligne : 12 juillet 2004
http://canarias.indymedia.org/userme (...)
L’Afrique n’est pas homogène. Ainsi les Etats africains devraient-ils être vus plus sous la forme de leur différenciation en cours que de leur ressemblance imaginaire.
Deux points structurent le déroulement de cette analyse. Dans un premier temps, la détermination du contenu de la notion de mondialisation ; dans un deuxième temps, l’analyse les contradictions de la faillite du développement de l’Afrique, et plus particulièrement de la République Démocratique du Congo.
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date de mise en ligne : 14 mai 2004
> Le Monde diplomatique, janvier 2004
http://www.monde-diplomatique.fr/200 (...)
L’Afrique subit avec une acuité particulière les déstabilisations politiques et sociales dues à la mondialisation. En effet, déjà fragiles, les jeunes Etats indépendants ont hérité d’une souveraineté chancelante que la domination des multinationales et la dislocation des sociétés sous l’effet des politiques d’ajustement structurel ont achevé de réduire à néant. Ainsi, la puissance publique devient une fiction dont on cherche à tirer profit et le coup d’Etat un mode naturel de conquête du pouvoir. lire
date de mise en ligne : 15 mars 2004
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