bibliotheque internationale pour un monde responsable et solidaire ritimo

Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

Justice Maintenant ! Ratifiez pour protèger tous les droits de l’Homme

Le moment est venu de garantir que les individus dont les droits économiques, sociaux et culturels sont bafoués, en particulier ceux qui vivent dans la pauvreté, puissent avoir accès la justice. La Coalition d’ONG pour un Protocole Facultatif réitère son appel aux Etats de devenir partie au Protocole Facultatif au Pacte International relatif aux Droits Economiques, Sociaux et Culturels.

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La journée sans immigrés

FAISONS DU PREMIER MARS UNE JOURNEE HISTORIQUE !

Les jours précédents :

* Je prépare des rubans jaunes - symbole unitaire européen pour le 1er Mars - et j’en distribue à mes proches, * J’imprime les affiches et les tracts sur le site www.lajourneesansimmigres.org, * Je peux aussi acheter un tee shirt « 24h sans nous » sur le site ou dans mon comité, * Je fais mes courses le samedi ou le dimanche matin pour ne pas consommer le 1er Mars, * Si possible je pose un jour de congés ou un RTT pour le 1er mars 2010.

Le 1er mars :

* Je porte mon ruban en forme de papillon jaune de manière bien visible : * Si possible, je ne travaille pas, si je suis obligé de travailler, je porte le ruban par solidarité, * Si je suis commerçant indépendant j’essaye de fermer 24h, à défaut 2h entre 12H à 14H avec l’affiche du 1er Mars visible sur ma vitrine. * Je ne consomme pas : * Je ne vais ni au restau, ni au fast food, ni au ciné... * Je n’achète pas mon journal, ni mes cigarettes, ni ma baguette de pain... * Sur internet, je change mon statut Facebook, Twitter, Google Buzz : indiquer par exemple : « La Journée sans immigrés : 24h sans moi » et changer également votre photo de profil par l’affiche du 1er Mars.

Entre 12H et 14H :

* Je me joins au sit-in national devant les mairies (ou lieux emblématiques ), * J’apporte ma bonne humeur, mon parapluie en cas de grisaille, et de quoi manger pour le midi, * D’autres évènements auront lieu toute la journée partout en France * Inscrivez vous pour recevoir les toutes dernières informations sur les évènements organisés dans votre ville le 1er Mars 2010 !

Ouganda : oui aux droits, non à la répression

Les homosexuels ougandais risquent la peine de mort si la loi actuellement discutée au parlement est adoptée.

Suite aux condamnations formulées au plus haut niveau par la communauté internationale, le Président ougandais a été contraint de demander la révision du texte. Mais nos partenaires sur place affirment que seul un appel mondial pourra amener les Parlementaires à renoncer à cette loi discriminatoire, en leur montrant leur isolement sur la scène mondiale.

Il ne nous reste que quelques jours — signez la pétition s’opposant à la loi anti-homosexualité en Ouganda, et faites-la suivre à vos amis et votre famille. Elle sera remise aux dirigeants ougandais, aux ambassades partout dans le monde, ainsi qu’aux pays donateurs.

Coalition internationale contre l’implantation d’Agrexco sur le port de Sète

En pleine guerre contre la population de Gaza en janvier dernier, le président de la région Languedoc-Roussillon, engageant tout le conseil régional, annonçait à grand renfort de promesses d’emplois et de subventions régionales l’implantation dans le port de Sète de l’entreprise israélienne AGREXCO. Incluant cette opération dans un plan d’investissement de 200M d’€ sur 10 ans, il promettait – sur fond d’élections régionales prochaines - la création de 200 emplois et 500 000 t de trafic supplémentaire. Même si l’opération médiatique est certaine, il n’en demeure pas moins que l’opérateur portuaire italien GF Group a remporté l’appel d’offres pour l’exploitation d’un terminal fruitier et d’un terminal conteneur pour « Port Sud de France » (nouveau nom selon Frêche du port de Sète) et qu’AGREXCO a remporté l’appel d’offres d’exportation des fruits et légumes et signé convention avec la Région. Si l’on ajoute les divers déplacements –largement médiatisés - en France des responsables de ces deux groupes et ceux du président de la Région en Israël, tout indique que le processus est engagé et qu’une « politique de l’autruche » serait lourde de conséquences.

LA POLITIQUE DES DROITS DE L’HOMME DE L’ÉTAT D’ISRAËL CONDAMNÉE PAR LE PARLEMENT EUROPÉEN

En 2002, le parlement européen s’est prononcé pour la suspension des « accords d’association » avec Israël en raison du non respect par Israël des droits de l’Homme (en Palestine mais aussi en Israël à l’égard des arabes israéliens). Le 4 décembre 2008, soulignant ainsi la permanence du problème, la plupart de nos élus au même parlement européen ont voté contre « le rehaussement des accords de suspension » avec Israël.

LA POLITIQUE COLONIALISTE DE L’ÉTAT D’ISRAËL CONDAMNÉE PAR LES INSTANCES INTERNATIONALES

En juillet 2004 la Cour Internationale de Justice de la Haye (CIJ) condamnait la construction du MUR en territoire palestinien et demandait sa démolition. En décembre 2008, le président de l’assemblée générale de l’ONU, Miguel d’Escoto Brockmann demandait à l’ONU d’utiliser le terme d’apartheid pour qualifier la politique de l’état d’Israël et lançait un appel à soutenir la campagne non violente de boycott, désinvestissement et sanctions d’Israël.

GAZA : LA POLITIQUE CRIMINELLE D’ISRAËL CONDAMNÉE PAR LES PEUPLES DE LA PLANETE

1315 tués, 433 enfants 6000 blessés en 22 jours dont une écrasante majorité de civils et la destruction des habitations et infrastructures de santé d’enseignement etc. Des millions de personnes ont manifesté pour dénoncer les crimes de guerre commis par l’armée israélienne. Richard Falk, rapporteur de l’ONU sur les droits de l’Homme dans les territoires occupés depuis 1967 déclarait à l’issue de la guerre qu’en raison des armes utilisées et des attaques contre les civils : « L’approche militaire visant à « punir » Gaza était intrinsèquement criminelle ; elle violait les lois de la guerre et avait abouti à des crimes contre l’humanité ».

AGREXCO INSTRUMENT DIRECT DE LA COLONISATION AGRICOLE

Au nom du respect des droits humains, de la morale et de la justice et des décisions des instances internationales, les raisons ci-dessus seraient largement suffisantes pour refuser l’implantation d’une entreprise israélienne de quelque secteur que ce soit à Sète ou ailleurs, car toutes les entreprises israéliennes, tirent directement ou indirectement, profit d’une colonisation condamnée depuis des décennies par les instances internationales ! Mais le choix d’AGREXCO (fruits, légumes et fleurs) est caricatural car elle est l’instrument N°1 de la colonisation dans l’agriculture. D’abord parce que l’entreprise est directement liée au ministère de l’agriculture israélien qui la contrôle à 50% et dont elle applique la politique, mais aussi parce que les 70% de ses exportations proviennent des colonies (reconnu en 2006 par le directeur d’agrexco lors d’un procès en Grande Bretagne). Notamment des colonies de la vallée du Jourdain où 7000 colons se sont appropriés 95% des terres et contrôlent 98% de l’eau ! Réduisant à la misère ou à l’exil les paysans palestiniens des zones où sévit cette entreprise.

LE CHOIX D’AGREXCO EST CONTRAIRE A L’ETHIQUE ET AUX VALEURS DES DROITS HUMAINS

Aurait-on dans les années 70, en plein apartheid sud africain, – au nom de la seule création d’ emplois – accepté l’implantation de l’entreprise « Outspan » pour en faire la porte d’entrée européenne des oranges « Outspan » symbole d’un apartheid boycotté par le monde entier ? C’est en ces termes qu’il faut raisonner ! C’est la raison pour laquelle nous répondons à « l’Appel BDS » lancé par 172 organisations palestiniennes en juillet 2005 et refusons cette implantation . Pour autant et parce que la question de l’emploi est au centre de nos préoccupations, notre intérêt pour les emplois sur le port et les activités du port nous amènent aussi à nous préoccuper des emplois dans l’agriculture. Quelles conséquences auraient les importations massives de fruits et légumes largement subventionnés en Israël sur l’économie paysanne de la région ? Et par voie de conséquence quels risques de pénurie alimentaire et de destruction de savoirs-faire encourons nous ? Va t-on, au prétexte de la création d’emplois de manutentionnaires précarisés sur le port, participer à la liquidation d’emplois agricoles paysans réels ? Pire encore, cela se ferait avec l’argent public ? C’est inacceptable et nous le refusons.

Nous signataires du présent appel demandons que la Région Languedoc-Roussillon mette en place d’autres projets alternatifs, réellement créateurs d’emplois pour le port de Sète, en synergie avec un autre type de développement régional, tant au plan agricole qu’en terme d’infrastructures et qui seraient conformes à l’éthique et aux valeurs des droits humains.

PAS UN EURO D’ARGENT PUBLIC CONTRE LE PEUPLE PALESTINIEN !

OUI A LA CREATION D’EMPLOIS RESPECTANT LES DROITS DES PALESTINIENS ET PROTEGEANT LES PAYSANS LANGUEDOCIENS

Nous appelons toutes les organisations, partis, syndicats et associations à rejoindre cette coalition "Pour des emplois conforme à l’éthique et avec l’agriculture régionale, contre l’implantation d’AGREXCO à Sète" .

Philippines - Libérez l’avocat du peuple !

initiative Peuples Solidaires

Dans un Appel de janvier 2007, Peuples Solidaires dénonçait déjà la violence politique du gouvernement philippin envers les défenseurs des droits des travailleurs, les responsables syndicaux et les militants aux Philippines. Plus d’un an après cette campagne, nous constatons avec dépit que la situation dans ce pays ne s’est guère améliorée. L’arrestation controversée le 23 octobre dernier, de Remigio Saladero, fervent défenseur des droits des travailleurs et "avocat du peuple" comme le surnomment certains, en est une preuve supplémentaire. Or, à travers la détention de cet avocat des opprimés, ce sont les droits de toutes les personnes qu’il défend qui sont du même coup bafoués...

* Pour agir : www.peuples-solidaires.org

Droit de regard dans les lieux d’enfermement

Depuis sa création Migreurop dénonce la multiplication des lieux d’enfermement pour étrangers que les Etats membres de l’Union Européenne mettent en place dans le cadre de plan de lutte contre l’immigration illégale. Ce phénomène concerne aussi bien les pays de l’Union Européenne que ceux situés hors de ses frontières et que l’Europe incite à « retenir » ou à « reprendre ». Les systèmes de détentions et d’éloignement des étrangers sont variables en fonction des pays mais on constate partout une généralisation de l’enfermement de personnes qui n’ont commis d’autres infractions que celles relatives à l’entrée et au séjour. Cette généralisation de l’enfermement des étrangers tend à être institutionnalisée par l’Union européenne notamment avec l’adoption, le 18 juin 2008, par le Parlement Européen de la directive « retour » qui valide des pratiques de détention des étrangers pour des durées démesurées.

Total aggrave son cas

La nouvelle campagne des Amis de la Terre s’appuie sur le rapport Total, la mise en examen qui analyse les impacts environnementaux et sociaux des activités de Total, 4ème groupe pétrolier mondial. Ses conclusions sont accablantes : alors que la première entreprise française se revendique souvent parangon de vertu en termes de développement durable, l’analyse de la réalité montre qu’elle aggrave ses impacts sociaux et environnementaux et se prépare à faire pire encore.

90 jours pour libérer Aung San Suu Kyi

Alors même que les instances internationales semblent impuissantes et divisées face à la junte qui gouverne la Birmanie (l’ONU vient de rejeter le vote d’une résolution demandant plus de démocratie), des associations ont décidé de prendre au mot les promesses de la junte qui, en mai dernier, a refusé de la libérer promettant de le faire « dans un an », pour que l’on n’oublie pas le combat de plus en plus difficile d’Aung San Suu Kyi.

Cette opération a été lancée le 26 février, date à laquelle a commmencé un compte à rebours qui se terminera à la date promise de libération, le 27 mai 2007. Pendant cette période, Ask for freedom souhaite multiplier les actions, symboliques et concrètes en collaboration avec les associations travaillant déjà autour des problèmes birmans, dont Info-Birmanie.

Le site Internet sert de plateforme à l’opération. C’est un site d’images, photos et reportages, ainsi que d’actualité (articles d’Arnaud Dubus, correspondant en Asie du sud-est pour Libération, et articles cédés par le journal birman basé à Chiang Maï, en Thaïlande, The Irrawady).

Des droits pour les travailleurs migrants !

  • L’ATMF (Association des Travailleurs Maghrébins de France)
  • la CIMADE (Service oecuménique d’entraide)
  • le CRID (Centre de Recherche et d’Informations pour le Développement)
  • EMMAUS INTERNATIONAL
  • le FORIM (Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations)
  • le GISTI (Groupe d’information et de soutien des immigrés)
  • la LDH (Ligue des Droits de l’Homme)
  • le MRAP (Mouvement contre le Rascisme et pour l’Amitié entre les Peuples)

se mobilisent pour les droits des travailleurs migrants et se fixent pour objectif la signature et la ratification par la France de la Convention des Nations Unies sur les Droits des Travailleurs Migrants (et les membres de leur famille).

18 décembre 1990 : l’assemblée générale des Nations Unies adopte la Convention internationale des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille. La Convention rappelle que les droits fondamentaux et le principe de non discrimination s’appliquent à tous les hommes mais doivent être réaffirmés pour les migrants « sans distinction aucune » en « considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle [ils/elles] se trouvent fréquemment ».

Cependant la Convention pour les droits des migrants, aujourd’hui ratifiée par seulement trente quatre Etats dans le monde (essentiellement pays de départ de migrants), reste encore lettre morte, notamment dans les pays d’accueil. Elle le restera tant que la France, ses partenaires de l’Union européenne et la plupart des pays les plus industrialisés persisteront à en éluder la ratification. Pourtant, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante partout dans le monde et appelle un rempart juridique au plan international.

18 décembre 2006 : 7ème année de la Journée Internationale des Migrants qui est l’occasion, dans le monde entier, notamment en France, de mobilisations pour leurs droits.

18 décembre 2007 : l’an prochain célébrera-t-il enfin la ratification par la France de la Convention Internationale pour les Droits des Migrants ?

C’est possible si nous sommes extrêmement nombreux à nous mobiliser aujourd’hui et tout au long de l’année à venir.

Signez (individuellement et en tant qu’organisation) et faites signer la pétition pour la ratification de cette Convention par la France !

24 heures d’actions urgentes en faveur des défenseurs des droits humains

Depuis plus de trente ans, les actions urgentes sont l’un des moyens les plus connus et utilisés dont dispose Amnesty International pour mener son travail en faveur des personnes en danger, notamment des prisonniers d’opinion de la détention, de la torture ou de la mort.

Une action urgente est une information détaillée, envoyée à des centaines de membres et sympathisants d’Amnesty, en faveur d’une personne qui risque d’être exécutée, enlevée, torturée, pour avoir exercé son droit à la liberté d’expression, de réunion, d’association ou de religion. En quelques heures, à l’initiative du Secrétariat international d’Amnesty à Londres, et après qu’une vérification ait été effectuée par l’un de ses chercheurs, des milliers de fax, lettres, mails, de différents pays du monde arrivent sur les bureaux des responsables politiques, militaires, judiciaires, voire pénitentiaires du pays concerné.

La section française d’Amnesty organise depuis trois ans déjà un évènement baptisé « 24 Heures Actions urgentes ». Son but principal est de sensibiliser le public français à ce type d’actions destinées à faire libérer ou à sauver des hommes et des femmes injustement emprisonnés en raison de leurs opinions politiques, de leur ethnie ou de leur religion. Pas besoin d’être membre d’Amnesty pour participer à ce mode d’action, accessible à tous et qui ne demande que très peu de temps, pour tenter de sauver des personnes injustement détenues, torturées ou menacées de mort.

Rendez-vous avec les militants d’Amnesty dans les cybercafés de nombreuses villes à l’occasion de la journée des droits de l’Homme du 10 décembre.

Birmanie : menace sur la paix

La situation du peuple birman ne cesse de se détériorer. Les différentes agences de l’ONU comme de nombreuses ONG internationales et birmanes ont documenté les violations des droits de l’homme dont le régime du SPDC (Conseil d’Etat pour la paix et le développement) se rend coupable. Ce régime a jusqu’à ce jour ignoré tous les appels de la communauté internationale.

La gestion économique irrationnelle de la dictature a en outre fait de la Birmanie l’un des pays les plus pauvres du monde. De façon évidente, le maintien en place de ce gouvernement illégitime entraîne une dégradation continuelle des conditions de vie de la population. Aujourd’hui le régime birman, tout en faisant peser une menace sur la stabilité régionale, n’hypothèque pas seulement le présent de sa population mais aussi son avenir.

"Il ne fait aucun doute que le problème birman cause de sérieux problèmes, probablement permanents, outrepassant les violations des droits de l’homme", écrivent Vaclav Havel et Desmond M. Tutu. Le 20 septembre 2005, les deux prix Nobel de la paix ont rendu public un rapport intitulé "Menace sur la paix", constatant que la Birmanie remplit tous les critères pour une intervention du Conseil de sécurité des Nations unies. Ce rapport invite les membres du Conseil à passer une résolution exigeant du SPDC qu’il se conforme aux exigences des Nations unies pour la restauration de la démocratie en Birmanie et pour la libération de Madame Aung San Suu Kyi et de tous les prisonniers politiques.

Une initiative à laquelle a en partie répondu la communauté internationale en inscrivant le 15 septembre 2006 la Birmanie a l’ordre du jour permanent du Conseil de sécurité. La communauté internationale doit maintenant aller plus loin. Les organisations réunies pour cette campagne attendent de l’Etat français un engagement fort en vue de l’adoption d’une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies sur la Birmanie.

Assez d’humiliation !

initiative La Cimade

_ Souvent privés de certains droits fondamentaux et confrontés à la banalisation des discours xénophobes, les migrants vivent aujourd’hui un double désespoir : être non seulement les victimes de la peur de l’autre et du repli sur soi, mais aussi de pratiques politiques et administratives en constante régression, légitimées par la négation des valeurs de solidarité qui se propage dans notre société.

Seul le retour à ces valeurs humaines de solidarité peut inverser cette tendance. Cette campagne vient ainsi nourrir et renforcer les mouvements de solidarité qui s’expriment ici et là, en poursuivant deux principaux objectifs :

  • favoriser un juste regard sur les migrants en combattant les mythes et fantasmes qui bâillonnent tout espoir d’une politique d’hospitalité et en dénonçant la réalité des traitements infligés à ceux et celles venus chercher en France l’espoir d’une vie meilleure...
  • construire et populariser les fondements d’une autre politique, juste et réfléchie, grâce à un travail collectif d’analyse et de propositions concrètes en vue des élections présidentielle et législatives de 2007.

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