Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
Communiqué de presse du 27 mars d’André Abreu et d’Emmanuel Poilâne de France Libertés En mars, une avant dernière session des négociations s’est tenue à New York en vue du Sommet de Rio + 20 qui se tiendra du 20 au 22 juin prochain. Les groupes de la société civile qui travaillent pour le droit à l’eau découvrent avec surprise et étonnement que certains groupes et certains pays – dont l’Union Européenne ‐ travaillent pour effacer systématiquement du texte toute mention au droit à l’eau, ainsi que d’autres (...) lire
date de mise en ligne : 28 mars 2012
Communiqué de presse AITEC – ATTAC France - Lundi 12 décembre 2011 La conférence de Durban sur le changement climatique est terminée. Elle s’achève sur un accord sans engagement, condamnant à une augmentation de la température globale de plus de 4°C, dont l’objectif est de diluer les responsabilités à travers la négociation d’un nouveau mandat pour 2015 qui ne serait applicable qu’en 2020. Le traité de Kyoto reconnaissait la responsabilité historique des pays industrialisés et leur assignait des objectifs (...) lire
date de mise en ligne : 15 décembre 2011
Lundi 5 décembre 2011 Une semaine de négociations dans l’enceinte des Nations unies. De quoi s’agit-il au juste ? De réduire les émissions de gaz à effet de serre conformément aux connaissances scientifiques et aux exigences politiques et éthiques ? Sur ce sujet, la messe est quasiment dite. Elle sera certes ornée de promesses, y compris celle d’un accord en 2020, mais personne n’est dupe. Malgré les récents rapports de l’AIE et de l’OCDE exigeant des réductions d’émissions importantes d’ici 2020, les (...) lire
date de mise en ligne : 5 décembre 2011
Selon les Indiens Ayoreo du Paraguay, le Pacte mondial, une initiative phare des Nations-Unies en matière ’d’entreprises citoyennes’, serait utilisé pour couvrir les violations des droits de l’homme. Des chefs Ayoreo, dont certains membres de leur groupe vivent encore dans l’isolement, ont écrit au bureau du Pacte mondial pour lui faire part de leur ‘préoccupation’ et de leur ‘frustration’ à l’annonce de l’adhésion d’une compagnie d’élevage brésilienne controversée. La compagnie en question, Yaguarete (...) lire
date de mise en ligne : 7 juillet 2011
Communiqué de Presse d’Info Birmanie Ibrahim Gambari, conseiller spécial auprès du Secrétaire Général de l’ONU sur la Birmanie, s’est rendu dans le pays du 6 au 10 mars 2008 pour une nouvelle visite suite à la révolution safran qui a secoué le pays en septembre dernier. Aucun des membres du SPDC n’a accepté de le rencontrer ce qui témoigne incontestablement du mépris de la junte militaire à l’égard de la communauté internationale. Il a néanmoins pu s’entretenir deux fois avec Aung San Suu Kyi, et a vu des (...) lire
date de mise en ligne : 14 mars 2008
« Action 21 aborde les problèmes urgents d’aujourd’hui et cherche aussi à préparer le monde aux tâches qui l’attendent au cours du siècle prochain. C’est un programme qui reflète un consensus mondial et un engagement politique au niveau le plus élevé sur la coopération en matière de développement et d’environnement. La bonne application d’Action 21 est la première et la plus importante des responsabilités des gouvernements. Les stratégies, plans, politiques et processus nationaux sont vitaux pour ce faire. La (...) lire
date de mise en ligne : 5 février 2007
> Extrait de l’ouvrage « Droit pour tous ou loi du plus fort. Regards militants sur les Nations Unies », Editions du CETIM, 432 p., 2005.
« S’il y a un endroit de la planète où l’Organisation des Nations Unies (ONU) a une responsabilité directe, c’est bien le conflit israélo-arabe. Il est, certes, exagéré de dire, comme le font certains porte-parole palestiniens, que l’ONU a été à l’origine du conflit - celui-ci lui étant antérieur de près d’un demi-siècle. Nul ne peut cependant nier qu’avec la décision de créer l’Etat d’Israël, dans une de ses premières résolutions d’importance, l’ONU porte une responsabilité écrasante dans l’évolution de ce (...) lire
date de mise en ligne : 15 novembre 2006
Lors d’une conférence de presse M. Jean Ziegler, rapporteur spécial sur le droit à l’alimentation, a estimé qu’en l’état des capacités de l’agriculture mondiale et de l’obligation d’assistance en droit international, « tout enfant qui meurt de faim à l’heure actuelle meurt assassiné ». Le premier des huit Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), « Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour », ne sera jamais atteint, a (...) lire
date de mise en ligne : 13 novembre 2006
> Alternatives International
http://alternatives-international.ne (...)
La résolution adoptée par le Conseil de Sécurité des Nations unies le 11 août 2006 n’a pleinement satisfait ni Israël ni Washington ni le Hezbollah. Cela ne signifie pas qu’elle est « juste et équilibrée », mais seulement qu’elle est l’expression temporaire d’une impasse militaire. Le Hezbollah n’est pas parvenu à infliger une défaite militaire majeure à Israël - possibilité exclue de toute façon par la disproportion des forces en présence, tout comme il avait été impossible à la résistance vietnamienne d’infliger une défaite militaire majeure aux Etats-Unis. Mais Israël non plus n’est pas parvenu à infliger au Hezbollah une défaite militaire majeure - ou même quelque défaite que ce soit, en réalité. En ce sens, le Hezbollah est sans doute aucun le véritable vainqueur sur le plan politique et Israël le véritable vaincu de cette guerre de 33 jours déclenchée le 12 juillet, et aucun discours d’Ehud Olmert ou de George W. Bush ne pourra contredire cette vérité flagrante. lire
date de mise en ligne : 23 août 2006
> Panos Afrique, Juin 2006
http://www.panos-ao.org/ipao/spip.ph (...)
Entre les Dsrp, les Objectifs de développement du millénaire fixés par les Nations Unis, le Nepad ou encore d’autres plans régionaux et nationaux de développement, la lutte contre la pauvreté est devenue une préoccupation centrale. Au niveau des bailleurs de fonds, elle est même devenue un indicateur de bonne gouvernance, comme naguère l’ont été (le sont) le respect des Droits de l’homme et des principes démocratiques, la tenue d’élections libres et régulières... Si la presse la joué un rôle important pour aider à relever ces défis politiques dans beaucoup de pays africains, qu’en est-il aujourd’hui au plan économique ? Angle : comment la presse traite-t-elle de l’information économique ? En terme qualitatif comme en terme quantitatif. Nombre de journaux ont une page Economie plus ou moins permanente, mais l’information se limite souvent à des comptes rendus et porte rarement sur l’analyse des orientations faites en matière de politique économique. On note davantage aussi une information officielle et technique qu’une approche populaire de l’économie. lire
date de mise en ligne : 31 juillet 2006
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> Document de travail, décembre 2005, 4p., RTF
En 1987, la France (s’appuyant sur le prestige et l’expérience des french doctors) propose aux Nations unies d’introduire un « droit d’ingérence humanitaire ». L’accueil est loin d’être enthousiaste mais une résolution d’ « assistance humanitaire aux victimes des catastrophes naturelles et situations d’urgence du même ordre » est adoptée le 8 décembre 1988 par l’Assemblée générale des Nations unies. S’il s’agissait à l’origine d’assurer le libre accès aux victimes de catastrophes naturelles ou d’autres situations du même ordre (nullement définies dans le texte comme relatives à des guerres) et de leur porter secours par « les organisations intergouvernementales et non gouvernementales agissantes, dans un but strictement humanitaire [...] en particulier l’apport de nourriture, de médicaments ou de soins médicaux », le texte est aujourd’hui sujet à des interprétations diverses et sert entre autres l’interventionnisme militaire des Etats-Unis. lire
date de mise en ligne : 4 janvier 2006
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> Document de travail, 15 octobre 2005, 2p., RTF
Se distinguant des précédents sommets mondiaux, le SMSI a été conçu en deux phases, l’une à Genève en 2003, l’autre à Tunis en 2005. Il a le premier expérimenté le “Global compact” cher au Secrétaire Général de l’ONU et le partenariat public privé (PPP), promu remède magique à tous les maux. On retiendra de l’édition tunisienne l’utilisation d’une société civile consententante pour légitimer la domination du monde par les multinationales. Se distinguant des précédents sommets mondiaux, le SMSI a été conçu en deux (...) lire
date de mise en ligne : 6 décembre 2005
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> Document de travail, décembre 2005, 7p., RTF
Les droits humains sont aujourd’hui au coeur des relations internationales. Manipulation pour certains, droits imprescriptibles pour d’autres, leur défense pose de nombreux problèmes et révèle les contradictions d’un ordre mondial régi par les rapports de forces. lire
date de mise en ligne : 6 décembre 2005
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> Document de travail, janvier 2005, 8p., RTF
Les Nations unies tiennent une place privilégiée dans l’architecture internationale à côté d’une myriade d’organisations bi ou multilatérales dont le G8 et l’OTAN ne sont pas les moindres. Le paradoxe veut que les Organisations de l’ONU sont vilipendées par ceux qui combattent le multilatéralisme avec au premier rang, les Etats-Unis mais aussi par ceux qui estiment que rien de bon ne peut sortir du système, pour bâtir un autre monde ! La question est donc : les supprime-t-on en supprimant, ce faisant, toute velléité de régulation ? Les réforme-t-on modérément pour réguler dans le cadre du système actuel ? Les réforme-t-on radicalement pour instaurer un véritable multilatéralisme ? lire
date de mise en ligne : 2 décembre 2005
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> Chapitre 10, ONU : droits pour tous ou loi du plus fort ? : Regards militants sur les Nations unies, CETIM, Genève, 2005, 12p., RTF
Le divorce entre les peuples et l’organisation politique en charge de les représenter s’est accompagné d’un autre divorce : celui entre le politique et l’économique. Si la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, à l’origine agences des Nations unies, se sont affranchis de cette tutelle, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ne fait aucune référence à l’ONU dans ses statuts et les textes applicables à l’OMC et spécialement dans son tribunal (l’ORD) ne prennent pas en compte les documents des Nations unies. Il s’agit d’une véritable remise en question de son autorité et une violation de la souveraineté des peuples.
liredate de mise en ligne : 2 décembre 2005
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> Document de travail, mai 2005, 11p., RTF
C’est une évidence que « Nous, peuples des Nations Unies », sur lequel s’ouvre le Préambule de la Charte n’est qu’une invocation. « Nous, peuples », ne pesons pas sur les décisions prises au sein de l’ONU et les opinions publiques restent pour l’essentiel dans l’ignorance des compromis passés, des silences gardés, des sujets occultés sur les bords de l’East River. Domaine réservé aux gouvernements et aux diplomates ; le citoyen est sans voix, de plus, la masse d’informations, commentaires et analyses déversées par les médias, lors de guerres ou de tragédies humanitaires, le conforte dans l’idée de l’impuissance du « machin ». L’ONU est devenue une entité abstraite que l’on peut charger de tous les maux sans que l’on se sente responsabilisé ou concerné. C’est bien cela qui est grave. lire
date de mise en ligne : 2 décembre 2005
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Dégradation et neutralisation du droit international politique
> Document de travail, novembre 2005, 4p., RTF
Avec la domination et l’hégémonie d’une seule puissance, les notions les mieux établies du droit international se trouvent soumises à une profonde crise, qui va de l’érosion de l’interdiction du recours à la force armée, d’ailleurs mise à mal, à la notion de « guerre préventive ». Dans le même temps, le Conseil de sécurité a contribué de manière décisive à la dégradation générale du système multilatérale de la sécurité et la paix internationales. Enfin, nous assistons au renforcement de règles basées sur la logique de la marchandisation de la société internationale dans son ensemble et à un processus de dé-responsabilisation des sociétés transnationales par le bais des codes de conduite. Autant de raison d’en appeler à la reconstruction d’un ordre international alternatif. lire
date de mise en ligne : 2 décembre 2005
> D’après M. Kofi Annan, Secrétaire général de l’ONU, et son rapport publié le 21 mars 2005 : « Dans une liberté plus grande : développement, sécurité et respect des droits de l’homme pour tous »
http://www.aaj.org.br/AAJ-CETIM-FR.h (...)
Etat des lieux, commentaires sur le rapport du Secrétaire général concernant la réforme de l’ONU et propositions du Secrétaire général sur la Commission des droits de l’homme : ce rapport est un outil précieux pour comprendre les mécanismes de la réforme et ses blocages. lire
date de mise en ligne : 20 septembre 2005
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> Le Monde, 15 décembre 2004
http://labatailledulogiciellibre.inf (...)
« Dix-sept novembre, l’Unesco présente un partenariat avec Microsoft destiné à ’réduire la fracture numérique’. La nouvelle stupéfie les associations qui militent pour un usage citoyen des technologies et pour les logiciels libres. Le fait que la branche des Nations unies dédiée à la culture et aux sciences s’associe à la multinationale de Bill Gates pour favoriser l’accès à Internet et à l’informatique des pays pauvres équivaut à une Unicef travaillant avec McDonald’s pour lutter contre la faim dans le monde ou à un ministère de la culture s’alliant à TF1 pour combattre l’illettrisme. » lire
date de mise en ligne : 12 juillet 2005
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> Intervention au point 10 de la Commission des droits de l’homme 2005 : droits économiques, sociaux et culturels. Déclaration écrite conjointe du CETIM, de la LIDLIP et de l’AAJ
http://www.cetim.ch/fr/interventions (...)
Bientôt dix ans que la CDH a été saisie de la question d’un Protocole facultatif au Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC) et le processus s’enlise à cause de l’opposition entre deux courants du droit international. Le premier estime que l’être humain et les droits qui lui sont conférés doivent être le fondement de tout ordre juridique international, alors que pour le second courant, le fondement de cet ordre devrait être subordonné au libre marché. Ces deux positions sont non seulement antagoniques mais aussi irréconciliables. La CDH et son Groupe de travail ont l’obligation, même en l’absence d’un consensus, d’avancer avec célérité vers l’adoption d’un Protocole facultatif ayant pour base le PIDESC. Accepter la situation actuelle de blocage consisterait à reconnaître de façon implicite la subordination des mécanismes interétatiques du système des Nations unies aux intérêts des grands groupes économiques. lire
date de mise en ligne : 11 juillet 2005
http://www.un.org/french/aboutun/cha (...)
« Nous, peuples des Nations Unies... » La Charte de l’organisation en charge de la paix mondiale et du progrès social au lendemain de la guerre la plus meurtrière de l’histoire de l’humanité ne pouvait pas commencer mieux. Si elle est loin d’avoir été respectée dans ses principes comme dans ses objectifs, sa lecture reste indispensable pour comprendre les fondements de l’institution onusienne et les enjeux politiques de ce que d’aucuns appellent aujourd’hui la « gouvernance mondiale ». lire
date de mise en ligne : 1er juillet 2005
> Cedidelp, janvier 2005
Philippe Texier revient ici sur les origines de la marginalisation des droits économiques, sociaux et culturels (DESC) et du Pacte international des Nations unies qui les protège. Il évoque les évolutions très positives qu’ont connu ces droits ces dernières années, notamment sous l’impulsion du mouvement altermondialiste, et souligne que le principal enjeu actuel est de faire reconnaître la justiciabilité des DESC. lire
date de mise en ligne : 15 juin 2005
> Adopté et ouvert à la signature, à la ratification et à l’adhésion par l’Assemblée générale dans sa résolution 2200 A (XXI) du 16 décembre 1966, entré en vigueur le 23 mars 1976, conformément aux dispositions de l’article 49
http://www.unhchr.ch/french/html/men (...)
Le texte du Pacte, l’état des ratifications et les déclarations et réserves.
liredate de mise en ligne : 29 décembre 2004
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> Intervention lors de la Commission des droits de l’homme 2004 au point 17 : promotion des droits de l’homme. Le rôle d’une bonne gouvernance dans la promotion des droits de l’homme.
http://www.cetim.ch/fr/interventions (...)
Déclaration écrite conjointe du CETIM (Centre Europe-Tiers Monde) et de l’AAJ (Association Américaine de Juristes).
Résumé : « Les institutions telles que le FMI et la Banque mondiale recommandent régulièrement aux Etats de pratiquer la “bonne gouvernance”. Si les définitions de cette dernière varient, la promotion de cadres institutionnels favorables à l’ouverture des pays du Sud aux marchés financiers globalisés en est un élément récurrent. Le paradoxe est alors que des organisations internationales incitent les gouvernements nationaux non pas à une emprise sur la gestion de leur économie, mais à l’internalisation de politiques néo-libérales imposées de l’extérieur et à la dépossession de leur souveraineté. En outre, le FMI lui-même peut être montré du doigt comme modèle de “mauvaise gouvernance” de par certaines de ses pratiques opaques... Des transformations de l’architecture du système international sont plus que jamais indispensables pour la construction d’un monde démocratique. »
Les recettes néolibérales imposées sous l’argument de la gouvernance servent de masque à une stratégie de démantèlement de l’Etat et de libéralisation du commerce. Ainsi, en fait de bonne gouvernance, faudrait-il plutôt parler de mauvaise ingérence.
lire
date de mise en ligne : 28 décembre 2004
http://www.ilo.org/dyn/declaris/DECL (...)
Selon ses propres mots, la Déclaration de l’OIT relative aux principes et droits fondamentaux au travail a pour objectif d’assurer que le progrès social accompagne le progrès de l’économie et du développement.
Adoptée en 1998, elle oblige les Etats Membres, qu’ils aient ou non ratifié les conventions correspondantes, à respecter et à promouvoir les principes et les droits classés en quatre catégories : la liberté d’association et la reconnaissance effective du droit de négociation collective, l’élimination de toute forme de travail forcé ou obligatoire, l’abolition effective du travail des enfants, l’élimination de la discrimination en matière d’emploi et de profession.
date de mise en ligne : 27 décembre 2004
> 5ème chapitre de la partie « L’ONU en bref » du site de l’ONU
http://www.un.org/french/aboutun/uni (...)
« Une des tâches principales de l’ONU consiste à promouvoir le relèvement des niveaux de vie et le plein-emploi et à faciliter le progrès et le développement dans les domaines économique et social. Les organismes des Nations Unies consacrent 70 % de leurs activités à la réalisation de cet objectif. Leur effort repose sur l’idée qu’il est indispensable d’éliminer la pauvreté et d’améliorer le bien-être de tous pour créer les conditions d’une paix durable dans le monde. » lire
date de mise en ligne : 29 juillet 2004
> adopté et ouvert à la signature, à la ratification et à l’adhésion par l’Assemblée générale dans sa résolution 2200 A (XXI) du 16 décembre 1966, entré en vigueur le 3 janvier 1976
http://www.unhchr.ch/french/html/men (...)
Le texte du Pacte, l’état des ratifications et les déclarations et réserves.
liredate de mise en ligne : 7 juillet 2004
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