Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
> Notre Terre, 15 février 2005
La bataille semble perdue d’avance. Après la catastrophe du tsunami qui l’a durement frappé, le Sri Lanka essaie désespérément de mettre sur pied un système convenable de gestion de crise. Malheureusement, pour des gens bien informés, tous ces efforts ne déboucheront peut-être sur rien à cause de l’inefficacité des institutions, d’une bureaucratie inepte et la fréquence des changements politiques. Au cours des trois dernières années, il y a eu régulièrement des inondations dans le pays. A en juger par la (...) lire
date de mise en ligne : 12 avril 2006
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> Paris, 22 Novembre 2005
Déclaration commune d’ICSF (Collectif international d’appui aux travailleurs de la pêche) et du Collectif Pêche et Développement. lire
date de mise en ligne : 30 novembre 2005
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> Le Monde diplomatique, octobre 2004, pp.24-25
http://www.monde-diplomatique.fr/200 (...)
Alors que les catastrophes se multiplient ces dernières années, le système de prise en charge de leurs conséquences politiques, sociales et économiques paraît insuffisant et largement inefficace.
Les ONG tournées vers l’action semblent en effet prises dans des logiques endogènes qui ne favorisent ni leur réflexion, ni le travail en concertation ni la prise en compte des bénéficiaires de leurs projets. Quelques propositions de changements pertinentes et fort bienvenues.
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date de mise en ligne : 22 février 2005
> Le Monde diplomatique, octobre 2004, pp.24-25, extrait d’une conférence donnée à San Francisco, Californie, le 16 août 2004
Les Organisations non gouvernementales (ONG) apparaissent généralement comme le fer de lance d’un mouvement de transformation sociale et politique à l’échelle mondiale. Pourquoi l’auteure pointe-t-elle un risque d’« “ONG-isation“ de la résistance », sinon parce que nombre d’entre elles ne sont pas si bien intentionnées qu’elles ne paraissent, parce qu’elles contribuent à saper les fondements traditionnels des sociétés dans lesquelles elles interviennent, du point de vue économique (notamment avec l’aide (...) lire
date de mise en ligne : 22 février 2005
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> Syfia Suisse, 20 janvier 2005
http://www.alternatives.ca/article16 (...)
L’ONU redoute que la mobilisation en faveur des victimes d’Asie ne fasse oublier les autres urgences planétaires, notamment en Afrique. Comment transformer ce coup de cœur en effort durable ? Une question à 50 milliards de dollars pour les stratèges de Kofi Annan. lire
date de mise en ligne : 16 février 2005
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> Centre d’études pour le développement, Trivandrum, Kérala, Inde, 30 décembre 2004, traduit par Gildas Le Bihan
Personne ne pouvait prévoir le tremblement de terre qui, à partir des profondeurs de la mer, allait apporter la dévastation sur des milliers de kilomètres de littoral dans l’océan Indien. Contrairement aux grosses vagues de la « tempête parfaite », les tsunamis ne se font pas vraiment remarquer et ne sont pas d’un effet dramatique en mer. Elles sont très espacées (de 10 minutes à une heure) mais leur amplitude est très vaste, parfois plusieurs centaines de kilomètres. lire
date de mise en ligne : 14 février 2005
> Extrait de l’ouvrage Le désarmement comme action humanitaire, 2003, 3 p., PDF
http://unpan1.un.org/intradoc/groups (...)
Les armes nucléaires ne sont pas des armes ordinaires. Armes de destruction massive, sinon d’anéantissement total, elles peuvent rayer de la carte une ville, et l’ont déjà fait. Si la fin de la guerre froide a pu éloigner le spectre de leur utilisation, il demeure au Moyen-Orient et en Asie. Et la course aux armements nucléaires de n’être pas encore qu’un mauvais souvenir.
Mais la question a d’autres facettes : ainsi les 700 milliards de dollars dépensés annuellement dans le monde pour les programmes militaires correspondent à autant de programmes sociaux en moins, et la course aux armements constitue un obstacle à la construction d’une gouvernance mondiale basée sur le multilatéralisme et la paix.
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date de mise en ligne : 23 décembre 2004
> Synthèse de mémoire de fin d’études à l’Institut universitaire de technologie de Tours
http://metamedias.blogspot.com/2000/ (...)
P. Alliot s’attache à comprendre les relations entre les médias et l’action humanitaire, à déterminer les rôles respectifs et les limites de chacun et à analyser comment fonctionne cette dualité aujourd’hui, comment elle est perçue à la fois par les humanitaires et par les journalistes, mais aussi comment ces deux activités sont conciliables. lire
date de mise en ligne : 21 août 2004
> Médecins sans frontières, juillet 1994, 31p.
http://www.msf.fr/cms/filemanager/fi (...)
MSF publie enfin cet essai écrit en juillet 1994, jusqu’alors indisponible, et pourtant remarquable. De l’aveuglement politique aux dérives d’une action humanitaire plombée par une neutralité érigée en vision politique, une analyse percutante de ce qui restera aussi comme un échec des humanitaires, ces gens qui avaient pris l’habitude de dire, jusqu’en 1994 : « Plus jamais ça ». lire
date de mise en ligne : 19 août 2004
> in Revue internationale de la Croix-Rouge, n°844, pp.947-968, 31 décembre 2001
http://www.icrc.org/Web/fre/sitefre0 (...)
Résumé : « Les milieux économiques exercent depuis longtemps une influence majeure sur l’évolution géopolitique mondiale. Aujourd’hui, la communauté internationale et les médias s’intéressent de plus près aux questions de responsabilité des entreprises privées, et depuis peu au rôle des acteurs économiques dans les conflits armés. En parallèle, de nombreuses compagnies se sont dotées de codes de conduite qui s’inspirent de normes reconnues au plan international, notamment dans le domaine du droit du travail et des droits de l’homme. Sur cette toile de fond, il s’agit de bien cerner les divers objectifs qui motivent le monde des affaires et les organisations humanitaires à établir des ponts entre eux.
« Les compagnies privées sont amenées à engager du personnel de sécurité pour protéger leurs installations et leur personnel lorsqu’elles opèrent dans des zones instables. De ce fait se pose la question de la pertinence du droit international humanitaire dans le contexte d’activités économiques privées. Le CICR a décidé de mettre en oeuvre une stratégie spécifique envers les firmes qui opèrent enzones conflictuelles, et ce dans le but d’améliorer sa capacité à protéger et assister les victimes de conflits armés. Cette stratégie comprend entre autres la promotion des principes humanitaires fondamentaux ainsi que l’établissement d’un dialogue sur le terrain visant à sensibiliser les acteurs économiques sur des préoccupations humanitaires spécifiques. »
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date de mise en ligne : 11 août 2004
> Colloque SEI « Les solidarités transnationales », 21/22 octobre 2003, 8p.
http://www.afsp.msh-paris.fr/activit (...)
Selon P. Ryfman, « le thème d’une “mondialisation de la solidarité” fait actuellement florès dans le milieu des organisations non gouvernementales (ONG), particulièrement celles du secteur développement et humanitaire. Non seulement dans une optique de maximiser et démultiplier leur action, mais comme une forme d’alternative à la mondialisation libérale. »
Cette solidarité transnationale d’un nouveau type trouverait particulièrement appui dans le foisonnement des réseaux et se caractériserait par une transnationalisation des ONG les plus importantes, l’absorption de petites et moyennes ONG par des plus grosses ou encore le regroupement d’associations diverses autour de campagnes communes.
Reste à savoir ce que cette adoption de schémas de développement inspirés du monde entrepreneurial signifie à long terme.
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date de mise en ligne : 19 juillet 2004
> in La Chronique du CEPED, n° 31, Octobre-Décembre 1998
http://www.ceped.org/cdrom/integral_ (...)
« La question des mouvements migratoires est très politisée, surtout lorsqu’il s’agit de flux du Sud vers le Nord. Le développement des transports et la mondialisation des activités économiques ont précipité un phénomène encore limité au sortir de la seconde guerre mondiale. Il y avait cinq millions de migrants économiques en 1958 mais trente-cinq en 1985 et plus de quarante aujourd’hui. Pour originaux qu’ils soient, les mouvements de réfugiés révèlent une dimension tout aussi politique. La tendance est, là encore, à l’augmentation. Le nombre de personnes assistées par le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés, le HCR, est passé de dix-sept millions en 1990 à vingt-sept millions en 1995. On estime que les déplacements forcés de population affectent une bonne cinquantaine de millions de personnes dans le monde. » lire
date de mise en ligne : 7 juillet 2004
> in Relations, novembre 1998, n°645, pp.271-274
http://www.cjf.qc.ca/relations/archi (...)
« Le Haut-commissariat pour les réfugiés est certes le principal instrument pour la protection des réfugiés à travers le monde. On peut cependant s’inquiéter de quelques dérives récentes, qui illustrent bien, par ailleurs, la confusion de la communauté internationale concernant les réfugiés. » lire
date de mise en ligne : 7 juillet 2004
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