bibliotheque internationale pour un monde responsable et solidaire ritimo

Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

auteurs > Notre Terre

Notre Terre

Publié par le CRISLA (Centre de réflexion, d’information et de solidarité avec les peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine), Notre Terre est est une sélection trimestrielle d’articles traduits en français, de la revue indienne écologiste et scientifique Down to Earth, publiée par le CSE (Centre for Science and Environment). Il est édité par ORCADES, le CRISLA (Centre de réflexion, d’information et de solidarité avec les peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine) et le CSE.

  • Pour se renseigner ou commander la revue, contacter le CRISLA.


Changement climatique : ce que j’en pense avant Bali

> Notre Terre n° 24. Sélection d’articles de Down to Earth, CSE, New Delhi, traduit par Crisla

Les questions d’énergie, de transport et donc de climat sont à l’ordre du jour, en particulier avec le demi échec de la conférence de Bali. Ce numéro de "Notre Terre vers un développement durable" aborde ces questions du point de vue de l’Inde et des pays émergeants. Bonne lecture ! Ci-dessous le numéro 24 de la revue "Notre Terre" : lire

date de mise en ligne : 17 décembre 2007

Economie politique de la défécation

> Notre Terre n° 23. Sélection d’articles de Down to Earth, CSE, New Delhi, traduit par Crisla

Editorial Dans son éditorial de Down to Earth, 31 août 1995, Anil Agarwal, fondateur du CSE, suggérait la création d’un Gobar Mantri (ministère de la bouse de vache), rappelant l’importance de la bouse pour l’équilibre écologique, social et économique de l’Inde. Peu de temps après il manifestait un grand intérêt pour le développement des toilettes sèches en Suède. Il attirait l’attention sur l’absurdité des chasses d’eau, en particulier dans des pays comme l’Inde qui souffrent de pénuries d’eau. Le CSE a (...) lire

date de mise en ligne : 20 septembre 2007

La nouvelle bataille pour la terre

> Notre Terre n° 21. Sélection d’articles de Down to Earth, CSE, New Delhi, traduit par Crisla

Editorial « Nous savons comment exploiter des ressources et nous savons comment les conserver, les protéger. Mais nous ne savons pas comment utiliser des ressources avec profit et de manière durable pour la sécurité économique des gens. Le fait est qu’aujourd’hui les gens sont déplacés par l’industrie et aussi par les politiques de conservation. Leurs terres sont prises par les mines et aussi pour la protection des forêts et des espèces animales. Dans les deux cas, il ne leur reste rien ». C’est ainsi (...) lire

date de mise en ligne : 7 août 2007

L’Inde et son coca

> Notre Terre n° 20. Sélection d’articles de Down to Earth, CSE, New Delhi, traduit par le Crisla, décembre 2006.

CSE - Multinationales du coca : David contre Goliath Après avoir gagné une rude bataille contre les géants de l’industrie indienne de l’automobile, en imposant à New Delhi l’abandon du diesel dans les transports publics, le CSE a ouvert, bien malgré lui, un nouveau front contre des multinationales : Coca-Cola et Pepsi-Cola. Pour ces entreprises, le marché indien est une source potentielle de très gros profits. Avec seulement six bouteilles de coca par habitant et par an aujourd’hui, ce marché est (...) lire

date de mise en ligne : 14 mars 2007

L’Inde et son coton : libéralisme mortel

> Notre Terre n° 19. Sélection d’articles de Down to Earth, CSE, New Delhi, traduit par Crisla

L’Inde et son coton : libéralisme mortel La fin du contingentement pour les exportations textiles chinoises n’a pas eu pour seule conséquence de menacer l’emploi dans les usines des autres pays (du Nord ou du Sud), elle a abouti à accentuer la vague de suicides qui touche depuis plusieurs années les paysans producteurs de coton en Inde : 152 suicides dans la région du Vidarbha, Etat du Maharashtra, pour le seul mois de février 2006. Paradoxalement, les paysans subissent à la fois les effets négatifs (...) lire

date de mise en ligne : 19 octobre 2006

Etre malade en Inde

> Notre Terre n°17, janvier 2006

L’Inde a fait des progrès en matière de santé. Les gens vivent généralement plus longtemps, la mortalité infantile est en baisse. La variole a été éradiquée et il en sera peut-être de même pour la lèpre en 2005. Malheureusement, si on regarde ailleurs dans le monde, on constate que nos résultats ne sont pas vraiment brillants. A l’échelle planétaire, l’Inde c’est 23 % de la mortalité infantile, 20 % de la mortalité maternelle, 30 % des cas de tuberculose, 68 % de la lèpre. En matière de santé publique, nous (...) lire

date de mise en ligne : 12 avril 2006

Pour un avenir moins précaire

> Centre d’études pour le développement, Trivandrum, Kérala, Inde, 30 décembre 2004, traduit par Gildas Le Bihan

Personne ne pouvait prévoir le tremblement de terre qui, à partir des profondeurs de la mer, allait apporter la dévastation sur des milliers de kilomètres de littoral dans l’océan Indien. Contrairement aux grosses vagues de la « tempête parfaite », les tsunamis ne se font pas vraiment remarquer et ne sont pas d’un effet dramatique en mer. Elles sont très espacées (de 10 minutes à une heure) mais leur amplitude est très vaste, parfois plusieurs centaines de kilomètres.  lire

date de mise en ligne : 14 février 2005

L’affaire du riz basmati

> in Notre Terre n° 7, novembre 2001

Grand et mince, teint blanc chatoyant : on dirait une annonce matrimoniale dans un journal indien, mais il s’agit de ce riz qu’on appelle Basmati et qui fait l’objet de contentieux entre certains pays. Des gouvernements, des négociants, des agriculteurs, des Ong mobilisent leurs méninges pour protéger ce qu’ils estiment être « leur » basmati tandis que dans des pays occidentaux, des sociétés déposent des brevets et des marques commerciales pour protéger aussi « leur » basmati, en invoquant de nouveaux critères. Jusqu’à présent on ne s’était guère montré curieux sur la nature de ce riz. Comment se fait-il qu’un négociant le repère tout de suite parmi les autres et est prêt à payer plus pour l’obtenir ? Comment deux pays voisins qui se méfient tant l’un de l’autre parviennent-ils à s’entendre pour défendre ce produit qui fait partie de leur patrimoine ?  lire

date de mise en ligne : 8 décembre 2004

Message à diffuser : récoltez l’eau du ciel !

> in Notre Terre n° 7, novembre 2001

La récolte de l’eau par les populations locales est un concept qui fait son chemin, en Inde et ailleurs. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime que pour assurer la sécurité alimentaire il est de plus en plus indispensable de recourir à la récolte et à la conservation de l’eau.  lire

date de mise en ligne : 7 octobre 2004

Les ficelles de l’aide au développement

> Notre Terre n° 9, juillet 2002

Lors de la Conférence internationale sur le financement du développement qui s’est tenue en mars 2002 à Monterrey, Mexique, les pays riches ont une fois de plus refusé de prendre en considération de nouvelles options qui auraient pourtant permis aux pays pauvres de se débrouiller seuls au lieu d’avoir à compter sur de vaines promesses et quelques petites aides supplémentaires. Les pays en développement devraient cesser de faire la manche. Il faut réclamer de nouvelles règles pour un commerce équitable et un système de taxation mondial pour financer le développement.  lire

date de mise en ligne : 7 octobre 2004

La facture de la Révolution Verte

> in Notre Terre n° 5, février 2001

Nous sommes dans les années soixante. L’Inde souffre d’une grave sécheresse. Il ne reste peut-être que sept jours de vivres. Pour nourrir une population de plus en plus nombreuse, le pays doit importer massivement. C’est alors que les spécialistes pensent à faire un mariage entre la science et l’agriculture. Ce sera la Révolution Verte, et cela a marché. L’Inde importait 10 millions de tonnes de nourriture en 1967, 500 000 tonnes seulement en 1977. Aujourd’hui, si elle fait encore venir un tout petit (...) lire

date de mise en ligne : 6 octobre 2004

Gouvernements, ONG et commerce international

> in Notre Terre n° 3, 31 décembre 1999

S‘il est une leçon que notre gouvernement doit tirer des événements de Seattle, c’est bien celle-ci : il faut qu’il apprenne à travailler avec la société civile. Nos politiciens et nos commentateurs vont sans doute continuer à focaliser sur l’accès au marché, le contrôle des marchés et autres aspects économiques. Mais c’est finalement la qualité de notre démocratie qui déterminera la qualité de notre développement économique.  lire

date de mise en ligne : 6 octobre 2004

Gobar Times et Gobar Mantri

> in Notre Terre

Il y a quelques années, une militante du mouvement associatif, Pramila Dandavate, me demanda au terme d’un débat si les écologistes indiens avaient leur emblème, comme le charkha (rouet) de Gandhi du temps de la lutte pour l’indépendance. Depuis j’ai souvent réfléchi à cette question, et j’aimerais aujourd’hui faire part de ma réponse aux lecteurs de Down to Earth. J’ai d’abord pensé que la bicyclette ferait le mieux l’affaire. D’un point de vue écologiste, c’est une bonne chose puisque ce véhicule ne pollue pas l’atmosphère. D’un point de vue social, c’est aussi une bonne chose : le vélo favorise l’égalitarisme. Du point de vue de l’individu, c’est encore une bonne chose, car le vélo maintient celui qui pédale en forme. Pour toutes ces raisons, ce serait un beau symbole, sauf que ce type de véhicule n’est pas vraiment un produit de la culture indienne, contrairement au rouet de Gandhi.  lire

date de mise en ligne : 6 octobre 2004

Le Sommet de Johannesburg : et après ?

> Introduction de l’ouvrage "Poles Apart, CSE", New Delhi, 2001, in Notre Terre n° 8, mars 2002

Les signes prémonitoires ne sont pas bons, c’est le moins qu’on puisse dire. Un an seulement avant le Sommet du développement durable de Johannesburg qui doit faire le point sur les progrès accomplis depuis Rio (1992), le président des Etats-Unis, George W. Bush, donnait un coup terrible à ceux qui rêvent d’une responsabilité collective vis-à-vis de notre planète : son pays ne participerait pas aux négociations du Protocole de Kyoto qui doit imposer aux pays industrialisés une réduction des émissions de (...) lire

date de mise en ligne : 6 octobre 2004

Adieu l’équité, bonjour le pragmatisme !

> in Notre Terre, n° 4, juillet 2000

La plupart des grandes associations qui, en matière d’environnement, font l’opinion dans la société civile des pays du Nord ignorent le principe d’équité lorsque ce sont les pays du Sud qui réclament. Lors d’un récent colloque international qui a réuni aux Pays-Bas des scientifiques et des organisations non gouvernementales, il a été procédé, afin de mieux orienter les débats, à un vote sur une liste de questions relatives à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques : craintes exprimées par les pays de l’OPEP de voir leur production chuter si l’on se tournait vers d’autres sources d’énergie, référence au principe d’équité, etc. Pour répondre les participants avaient le choix entre un point vert (question prioritaire) et un point rouge (question non prioritaire).  lire

date de mise en ligne : 6 octobre 2004

© rinoceros - Ritimo en partenariat avec la Fph via le projet dph et la région Ile de France via le projet Picri. Site réalisé avec SPIP, hébergé par Globenet. Mentions légales - Contact

ritimo