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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

cartographie interactive > mondialisation et relations internationales

mondialisation et relations internationales

Coordination SUD

L’APD française et la politique de coopération au développement : Etats des lieux, analyses et propositions

> Coordination Sud, novembre 2005, 166pp.

http://www.coordinationsud.org/spip. (...)

Ce rapport dresse un bilan d’étape de la mise en œuvre de l’aide publique au développement française et analyse la réforme des politiques de coopération. Il s’attache à mesurer la quantité et la qualité d’APD « réelle » dégagée par les augmentations annoncées (l’APD « réelle » de la France ne représentant que 44,4% de son APD officielle).  lire

date de mise en ligne : 8 décembre 2005

CARTAPANIS André

La nouvelle architecture financière internationale : économie politique internationale et règles procédurales

> AFRI, 2001

http://www.afri-ct.org/article.php3? (...)

L’objectif de la nouvelle architecture du système financier international est de maîtriser l’instabilité financière internationale en améliorant la transparence et la surveillance des marchés, et en suscitant une plus grande responsabilité des acteurs, tant privés que publics, dans la prévention et la gestion des crises. Mais il s’agit d’une réponse pragmatique à l’instabilité financière internationale et non pas d’une avancée institutionnelle quant aux modes de gouvernance monétaire et financière à l’échelle internationale. Si l’ambition de consolider l’architecture financière internationale marque d’ores et déjà un infléchissement très net de doctrine, qui s’apparente à un nouveau compromis néo-libéral et se rapproche partiellement du libéralisme enchâssé de l’après-guerre, ce compromis paraît tout à la fois ambigu et inachevé, autant dans ses fondements que dans sa mise en œuvre. Tel est l’objet de cette analyse que de cerner l’économie politique de cette architecture.  lire

date de mise en ligne : 7 décembre 2005

BRAUER Jurgen, ROUX André

La paix comme bien public international

> AFRI, 2003

http://www.afri-ct.org/article.php3? (...)

A côté de l’exemple classique du phare, les économistes présentent les dépenses militaires comme le bien collectif national utile par excellence. Pourtant, l’ensemble des dépenses militaires mondiales peut aussi être présenté comme un bien public international indésirable, au contraire de la sécurité internationale et de la paix globale, qui sont directement utiles à l’ensemble des nations. Cependant, ces dernières sont soumises à des contraintes qui influencent ou sont influencées par les institutions qui prennent les décisions les concernant. Cet article propose une revue des concepts économiques de base concernant la production de biens publics internationaux et il les applique, d’une manière encore embryonnaire, au cas de la sécurité et de la paix en Afrique australe.  lire

date de mise en ligne : 7 décembre 2005

BERTHAUD Pierre, ROCCA Michel

Firmes globales et normes sociales

> AFRI, 2004, PDF

http://www.afri-ct.org/article.php3? (...)

Les débats sur la mondialisation font épisodiquement état d’un risque de « moins-disant social » dans les pays les plus avancés. Cette contribution vise à éclairer les débats en se plaçant sur le terrain des « stratégies de mondialisation » des firmes. Trois enseignements se dégagent. En premier lieu, il apparaît que les firmes ont a priori le choix entre trois modèles de mondialisation (commercial ; multinational ; global). En outre, il s’avère que le cours actuel de la mondialisation est très propice au choix du « modèle global », le seul à exercer un effet direct de moins-disant social dans les pays avancés. Enfin, on constate que cet effet de moins-disant du modèle global est amplifié par l’incitation à une corporate governance qui accentue encore les clivages salariaux et sociaux dans ces pays.  lire

date de mise en ligne : 7 décembre 2005

ABBAS Mehdi

L’économie politique de l’agenda de l’Organisation mondiale du commerce

> AFRI, 2002

http://www.afri-ct.org/article.php3? (...)

L’objet de l’article est de présenter l’Organisation mondiale du commerce en terme d’économie politique de l’échange. L’article met en évidence la transformation qui, induite par la négociation et les Accords de l’Uruguay Round, est survenue dans la nature de la régulation commerciale, laquelle concerne désormais les mesures au-delà des frontières et les mesures réglementaires affectant le fonctionnement des marchés domestiques. Partant d’une analyse de la nature de l’OMC, qui est à la fois une organisation économique internationale, un ensemble d’accords juridiques multilatéraux et l’agrégation d’Etats membres, l’article procède à une analyse fonctionnelle, par laquelle il met en évidence quatre fonctions assumées par l’OMC dans la gestion du système commercial multilatéral : fonction d’encadrement des interdépendances économiques, fonction de diffusion des influences, fonction de régulation des conflits commerciaux et fonction de gestion de l’ouverture.  lire

date de mise en ligne : 7 décembre 2005

dossier

ZACHARIE Arnaud

Sommet de l’OMC à Hong Kong : Itinéraire d’un « recadrage » annoncé

> Bruxelles, 6 décembre 2005, RTF, 23p.

Ce dossier du CNCD (Centre national de coopération au développement) propose un retour sur l’histoire du commerce international depuis la fin du XIXe siècle et sur la création du GATT pour dresser un bilan des dix années d’existence de l’OMC et dessiner les enjeux de Hong Kong. Que faire de l’OMC ? Faut-il oui ou non souhaiter sa mort ? Quelles sont les alternatives ? Le document se conclue ainsi sur deux textes de revendications communes entre ONG et syndicats : un au niveau belge et l’autre au niveau international.  lire

date de mise en ligne : 7 décembre 2005

Déclaration finale du IIIe Sommet des peuples de l’Amérique

> Mar del Plata, Argentine, vendredi 4 novembre 2005

http://www.cumbredelospueblos.org/ar (...)

Signée à l’occasion du IIIe Sommet des peuples de l’Amérique, la déclaration en appelle à cesser les négociations visant la création d’une Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA), à mettre de l’avant des processus alternatifs d’intégration régionale comme l’Alternative bolivarienne des Amériques (ALBA), à l’annulation de la dette extérieure illégitime, injuste et impayable du Sud, à la diversification de la production et la protection des semences originaires et à la militarisation du continent.  lire

date de mise en ligne : 6 décembre 2005

COLUSSI Marcelo

L’ALBA : une alternative réelle pour l’Amérique latine

> RISAL, 17 mai 2005

http://risal.collectifs.net/spip.php (...)

Faisant suite à l‘ALENA (Accord de libre-échange nord-américain), qui fonctionne depuis 1994, la Zone de libre-échange des Amériques (ALCA, sigles en espagnol) vise à approfondir les processus d’ouverture et d’ajustement néolibéral des années 90. Il doit en effet donner au marché et aux transnationales nord-américains une totale liberté d’action dans leur traditionnelle zone d’influence.
En décembre 2001, le président vénézuélien Hugo Chávez Frías proposait une alternative à ce projet : l’ALBA (Alternative bolivarienne pour l’Amérique latine et les Caraïbes). Basée sur la justice et la solidarité entre les peuples, sur la création de mécanismes visant à créer des avantages coopératifs entre les nations, sur l’intégration latino-américaine et la négociation en blocs sous-régionaux, l’ALBA n’est encore qu’un énoncé de bonnes intentions.  lire

date de mise en ligne : 6 décembre 2005

BRUGVIN Thierry, Groupe ONU d’Attac

La gouvernance des organisations internationales

> Document de travail, octobre 2005, 11p., RTF

Au sein des organisations internationales la gouvernance (globale, européenne, bonne...) consiste à opérer :

  • un élargissement du nombre et de la nature des acteurs participant aux décisions en s’appuyant notamment sur la société civile (ONG, associations professionnelles...)
  • et à se rapprocher les acteurs de terrain par un mouvement descendant (up-down).
    Cependant dans le cadre de la gouvernance, que l’on peut considérer comme une des formes de la démocratie participative, il y a le risque d’un passage excessif :
  • de la régulation politique à la régulation technocratique,
  • de la négociation intégrant les conflits politiques, à la fausse neutralité de la normalisation technique,
  • d’une démocratie publique représentative à une régulation déléguée aux intérêts particuliers : (passage du peuple souverain au partenariat avec la société civile).
 lire

date de mise en ligne : 2 décembre 2005

COSSART Jacques, Groupe ONU d’Attac

Les Institutions internationales

> Document de travail, janvier 2005, 8p., RTF

Les Nations unies tiennent une place privilégiée dans l’architecture internationale à côté d’une myriade d’organisations bi ou multilatérales dont le G8 et l’OTAN ne sont pas les moindres. Le paradoxe veut que les Organisations de l’ONU sont vilipendées par ceux qui combattent le multilatéralisme avec au premier rang, les Etats-Unis mais aussi par ceux qui estiment que rien de bon ne peut sortir du système, pour bâtir un autre monde ! La question est donc : les supprime-t-on en supprimant, ce faisant, toute velléité de régulation ? Les réforme-t-on modérément pour réguler dans le cadre du système actuel ? Les réforme-t-on radicalement pour instaurer un véritable multilatéralisme ?  lire

date de mise en ligne : 2 décembre 2005

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