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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

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annulation de la dette

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articles

Aide au développement : l’Union européenne et la France pointées du doigt par les ONG

> Communiqué de presse, Coordination Sud, 3 avril 2007

A l’occasion de la publication des chiffres de l’aide publique au développement par le Comité d’aide au développement de l’OCDE, Coordination SUD rappelle à travers un communiqué adressé ce jour à la presse que la contribution réelle de la France est bien inférieure aux chiffres officiels. Un tiers de l’aide européenne au développement est « artificielle » Le Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE vient de publier les premiers chiffres de l’aide publique au développement (APD) allouée par les pays (...) lire

date de mise en ligne : 3 avril 2007

Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers monde (CADTM)

La conférence de Paris III pour le soutien au Liban : qui aide qui ?

> CADTM

Le 25 janvier 2007 se tenait, à Paris, la Conférence internationale de soutien au Liban, dite « Paris III », convoquée et présidée par Jacques Chirac. Le but officiel de cette conférence était de mobiliser une aide financière « pour soulager la dette et créer une dynamique », selon les responsables français, après la terrible guerre d’agression de l’été 2006 menée par Israël (avec le soutien des Etats-Unis) en violation de la charte de l’ONU et de multiples dispositions des Conventions de Genève régissant le (...) lire

date de mise en ligne : 1er février 2007

Association Internationale de Techniciens, Experts, Chercheurs (AITEC)

Alors que la Norvège doit s’expliquer le mardi 17 octobre devant le Club de Paris

Communiqué de presse

> Plate-forme Dette & Développement

La plate-forme Dette & Développement demande aux pays riches de suivre l’exemple norvégien et d’annuler les dettes illégitimes En annonçant, le 2 octobre 2006, l’annulation de près de 65 millions d’euros de créances, qu’elle a reconnues comme illégitimes, envers 5 pays (Egypte, Equateur, Jamaïque, Pérou et Sierra Leone), la Norvège a établi un précédent historique. La plate-forme Dette & Développement appelle les pays créditeurs, qui doivent entendre demain le gouvernement norvégien, à lui emboîter (...) lire

date de mise en ligne : 17 octobre 2006

BAMBOU François

Réforme du FMI : tout bouge pour que rien ne change

> CADTM, septembre 2006

Les réformes internes menées traduisent sa volonté d’acquérir davantage de légitimité dans le monde, sans pour autant changer sa nature d’instrument au service et aux mains d’une minorité de pays dits riches. Plutôt que de résoudre la question de la marginalisation qui frappe les pays du Sud, la reforme du Fonds monétaire international engagée à Singapour, à l’occasion des assemblées annuelles du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pourrait simplement contribuer à creuser davantage le (...) lire

date de mise en ligne : 26 septembre 2006

LORILLU Olivier

Dette du Sud, dette états-unienne : quelles réalités ?

> Réseau Voltaire

http://www.voltairenet.org/article14 (...)

La dette des pays du Sud semble exorbitante. Elle est pourtant cinq fois moindre que celle des États-unis. Mais elle seule est exigible. La dette devient alors un outil de domination du fort sur les faibles.
La dette extérieure publique des pays en développement (165 États, 86 % de la population mondiale) atteint des sommets vertigineux : 1 600 milliards de dollars. Nuançons d’emblée ce chiffre : la dette publique des seuls États-Unis s’élève à 8 000 milliards de dollars (4,5 % de la population mondiale). Mais quelles réalités se cachent derrière ces montants ?  lire

date de mise en ligne : 27 juillet 2006

De Chavez et Lula, c’est Lula le populiste

> Entretien avec Eric Toussaint

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Eric Toussaint, historien et politologue, est président du Comité pour l’annulation de la dette du Tiers-monde (CADTM) et membre d’Attac. Il est enthousiaste à l’égard des gouvernements de Hugo Chávez au Venezuela et de Evo Morales en Bolivie, mais est implacable dans la critique de Luis Ignacio Lula da Silva, président du Brésil. Co-auteur du livre « 50 questions, 50 réponses sur la dette, le FMI et la Banque mondiale » récemment paru au Brésil aux éditions Boitempo, il accuse le président Lula de populisme, un populisme basé sur son plan d’assistance aux familles les plus pauvres [1] alors que dans le même temps, le gouvernement applique une politique conforme au consensus de Washington. Dans une interview par téléphone avec O Globo [2], il affirme que c’est le moment idéal pour les pays émergents d’obliger les créanciers du Nord à la renégociation du principal fardeau affectant les pays émergents qu’est la dette externe.  lire

date de mise en ligne : 12 juillet 2006

Cinquantenaire du Club de Paris : ni légitime, ni soutenable

> Déclaration de la société civile, Libération Afrique, 16 juin 2006

http://www.liberationafrique.org/spi (...)

Depuis 30 ans au moins, une grande partie du monde en développement croule sous une masse de dettes extérieures qui - parmi tant d’autres pressions et injustices - étouffe toute opportunité de croissance et de réduction de la pauvreté. Contrairement à ce qu’ils clament haut et fort, les gouvernements créditeurs ne se sont jamais systématiquement occupés de cette crise continuelle. Les Etats les plus riches ont au contraire imposé - par le biais du FMI, de la Banque Mondiale et du Club de Paris - un état d’urgence et d’insoutenabilité prolongé. Toute sortie définitive du cercle vicieux de l’endettement s’en est par conséquent trouvée constamment et délibérément entravée, au détriment des pays débiteurs, maintenus sous domination dans un véritable état de dépendance. Le nombre de négociations que de nombreux pays ont dû endurer tout au long de ces années parle de lui-même : on compte jusqu’à 14 visites pour le Sénégal, 11 pour la République Démocratique du Congo, 9 pour la Côte d’Ivoire et 8 pour le Gabon. De plus, la kyrielle de restructurations effectuées pose le problème majeur de la traçabilité des crédits. En effet, des prêts qui ont souvent été odieux ou illégitimes sont consolidés et réétiquetés, à la suite de quoi il devient extrêmement difficile de localiser leur véritable origine.  lire

date de mise en ligne : 22 juin 2006

MILLET Damien, TOUSSAINT Eric

FMI, dette et terrorisme

> CADTM, 13 décembre 2005

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Le FMI vient d’annoncer qu’il va annuler la dette de 20 pays pauvres à son égard au début de l’année 2006. Aux yeux d’une opinion qui a du mal à décrypter les messages volontairement confus des grands argentiers du monde, la démarche est habile : elle veut signifier que le problème de la dette est en passe d’être réglé. En fait, le but cherché est double : avoir bonne presse après les fortes turbulences dues à son rôle très discutable dans les crises financières récentes, mais aussi tenter de désamorcer la contestation croissante sur le thème de la dette des pays en développement. Cependant, plusieurs éléments laissent particulièrement perplexes.  lire

date de mise en ligne : 6 février 2006

AFRODAD, CIDSE, Eurodad, Initiative d’Halifax, Jubilee USA

Vendre l’or du FMI pour annuler la dette : il est temps de décider

> Rapport en anglais, avril 2005, 9 pp., PDF

http://www.eurodad.org/uploadedFiles (...)

(traduction du résumé préliminaire, rinoceros) La dette due au FMI, à la Banque mondiale et à d’autres institutions multilatérales s’est accrue rapidement ces dernières années et ces institutions sont à présent les principaux créanciers des pays les plus pauvres du monde. La dette multilatérale peut être extrêmement coûteuse pour des pays dans l’incapacité de rembourser et qui ont déjà du mal à assurer les besoins essentiels de leur population.
Chaque année six millions d’enfants meurent de malnutrition avant leur cinquième anniversaire. Chaque jour huit cents millions de personnes se couchent en ayant faim et vingt-quatre mille en meurent. Le SIDA tue plus de deux millions de personnes chaque année, allongeant ainsi la liste des milliers d’orphelins dans les pays en développement.
Les organisations de la société civile dans le monde demandent depuis longtemps que les immenses réserves d’or du FMI - totalement sous-évaluées - soient utilisées pour financer l’allègement ou même l’annulation de la dette des pays les plus pauvres. Aujourd’hui, après des années de lutte, la viabilité de cette proposition a été formellement reconnue par le FMI dans un texte qui établit clairement qu’il est possible de vendre de grandes quantités de ces réserves sur le marché international sans impact négatif sur les cours mondiaux de l’or. Les ventes d’or pourraient être organisées dans le cadre d’un accord existant de la Banque centrale (Central Bank Gold Agreement). Cette disposition devrait calmer les inquiétudes des nations productrices d’or, dont un grand nombre sont des pays à faible revenu.
Le texte du FMI précise également que les articles de l’accord prévoient la vente au comptant de l’or aux prix fixés par le marché et que les gains puissent être utilisés pour annuler les dettes des pays pauvres. En 2005, les organisations de la société civile s’unissent sous la bannière de l’Appel mondial contre la pauvreté. Cette mobilisation internationale est le mouvement social international le plus important depuis le Jubilee.
Les organisations signataires de ce document appelaient en avril dernier les responsables des pays riches à s’engager en faveur de la vente effective des réserves d’or pour annuler la dette des pays dans l’incapacité à répondre aux critères du Millenium Development Goals d’ici 2015. Elles demandaient également que les gains ne servent pas seulement à annuler les dettes vis-à-vis du FMI mais également celles dont les créanciers sont les autres banques de développement multilatérales.  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

ASHLEY Brian

Position de la section africaine de Jubilee Sud sur la déclaration des ministres des finances du G7

http://www.liberationafrique.org/spi (...)

Traduction française d’un article paru sur le site Jubilee South.
Alors que les Ministres des Finances du G7 ont pris une décision, qui aurait dû intervenir depuis longtemps, pour annuler certaines des dettes multilatérales de 18 pays parmi les plus pauvres, ils ont en même temps renforcé leur contrôle sur ces pays, au détriment des citoyens de ceux-ci. C’est le résultat de la réunion des Ministres des Finances du G7, tenue les 10 et 11 juin 2005.  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

CAD-Mali

Forums sociaux africains : la déclaration finale du Forum des peuples, 2003, Siby (Mali)

Constats


A la suite des débats, des ateliers, des conférences et des discussions, les participants ont effectué les constats suivants :
Les politiques de développement imposées en Afrique depuis un quart de siècle par les grandes institutions internationales et les pays du Nord n’ont pas réussi à endiguer la pauvreté sur le continent. Ayant eu pour effet principal l’ouverture de nouveaux marchés aux multinationales du Nord, ces politiques n’ont correspondu en rien aux aspirations des populations du Sud. Les nouveaux programmes de développement tels que le NEPAD, l’Accord de Cotonou, l’AGOA et le CSLP sont élaborés sans consultation de ces mêmes populations. Parallèlement, les politiques menées par les gouvernements africains depuis les indépendances ont été calamiteuses : clientélisme politique, corruption généralisée, détournement de biens publics et impunité ont compromis gravement les chances de développement de ces populations.
Le fardeau de la dette constitue l’un des freins majeurs au développement de l’Afrique. Le plus souvent contractées par des régimes dictatoriaux ou pseudo-démocratiques, ces dettes odieuses, immorales et illégitimes ont été multipliées par 4 voire 5 par le jeu des hausses de taux d’intérêts et des dévaluations, alors que les montants empruntés initialement ont été remboursés dans certains cas plus de 3 fois.
Les grandes institutions internationales aux chevets des pays sur-endettés ont soumis les ré-échellonements ou les allègements de ces dettes à la mise en place de programmes d’ajustement structurel (ou autres clones plus récents tels que CSLP ou Initiative PPTE) dont les conséquences ont été désastreuses ; ces programmes relèvent d’une doctrine ultra-libérale dont les pierres angulaires sont : austérité budgétaire, réduction drastique des dépenses sociales (école, santé), libéralisation totale des marchés, déréglementation, privatisation massive et bonne gouvernance. Les conséquences des plans d’ajustement structurels ont été une paupérisation croissante des plus pauvres et un enrichissement rapide des élites locales et des multinationales du Nord.
Le démantèlement des services publics (éducation et santé) ainsi que la marchandisation des biens communs que sont entre autres l’eau et l’énergie ont rendu ces services inaccessibles à la majorité de la population avec pour conséquences l’augmentation du taux d’analphabétisme et une croissance des problèmes de santé.
Les mesures de privatisations massives exigées par les institutions internationales (Banque Mondiale, FMI) et entérinées par les gouvernements locaux ont eu pour conséquences le bradage des entreprises et des sociétés d’Etat au profit le plus souvent des multinationales du Nord et de leurs alliés locaux.
Les subventions agricoles pratiquées par les pays du Nord, les mesures protectionnistes mises en place au mépris des règles du commerce international au profit du développement ainsi que l’organisation de la surproduction des produits agricoles d’exportation compromettent dangereusement les agricultures africaines et paupérisent les paysans.
L’absence de vie démocratique digne de ce nom en Afrique, les caractères frauduleux de la majeure partie des élections, les violations massives des droits de l’homme et des libertés fondamentales ainsi que la corruption des élites gouvernementales, la prolifération des armes de guerres vendues à bas prix par les pays du Nord constituent des sources d’instabilité politique et sociale du continent africain.

Appels


Le Forum des peuples lance aux gouvernements, au G8, aux institutions internationales, à la société civile les appels suivants :
- Le forum des peuples exige l’arrêt des politiques de développement ultra-libérales et propose que les populations soient associées à toutes décisions de développement national, bilatéral ou multilatéral, et ce par un processus de larges consultations démocratiques.
- Le Forum des peuples exige l’annulation totale et inconditionnelle des dettes du tiers-monde, le rapatriement des montants détournés et l’utilisation des ressources financières ainsi libérées dans les secteurs sociaux de base (santé, éducation, agriculture). Le Forum des peuples à Siby demande également la reconnaissance dans le droit international du délit « crime de dettes » ainsi que la poursuite dans les tribunaux ad hoc des individus, multinationales ou gouvernements ayant commis de tels crimes.
- Le Forum des peuples demande aux gouvernements l’arrêt de la privatisation des biens communs que sont l’eau et l’électricité ainsi que le maintien comme service public des domaines de l’éducation et de la santé.
- Le Forum des peuples demande aux organisations internationales que sont le FMI et la Banque Mondiale, l’OMC, de respecter la souveraineté et le droit à l’autodétermination des peuples.
- Le Forum des peuples demande l’instauration d’un commerce équitable des produits agricoles sur deux règles simples : l’interdiction de l’exportation de produits agricoles en dessous du coût de production ( dumping ) et le droit (ou devoir) pour tout pays (ou groupe de pays) de protéger son agriculture, sachant que les pays du Nord ne renonceront jamais aux subventions de leurs agricultures.
- Le Forum des peuples demande l’instauration rapide de systèmes électoraux fiables, la mise en place d’institutions démocratiques sur tout le continent, le respect de droit de l’homme, l’arrêt des pratiques corruptrices et de clientélismes politiques ainsi que la fin de l’impunité.
- Le Forum des peuples demande un réel partenariat entre la société civile et les gouvernements, dans la formulation et la mise en oeuvre des politiques de développement, par le biais d’une démocratie participative.
- Le Forum des peuples lance un appel aux sociétés civiles africaines pour un engagement sans faille aux côtés des populations dans leur lutte pour leurs droits. Le forum des peuples invite les sociétés africaines à intensifier la concertation et la coordination en leur sein.
Concernant le forum des peuples, nous appelons à son maintien, son élargissement et la conservation de son caractère d’information, de concertation, d’échange et de mobilisation, de revendication et de construction des alternatives.
Fait à Siby /Kati (Mali), le 3 juin 2003  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

MILLET Damien, TOUSSAINT Eric

Tsunami : vos dons serviront à rembourser leur dette sauf si...

> 10 janvier 2005, article a été publié dans les quotidiens Libération (Paris), Le Soir (Bruxelles) et L’Echo (Bruxelles).

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Crédits CADTM
Onze pays ont été touchés par le tsunami survenu fin décembre. Ils cumulaient fin 2003 une dette extérieure de 406 milliards de dollars. En 2002, ils ont remboursé 60 milliards à leur débiteurs, 68 l’année suivante. En regard, les 6 milliards d’aide internationale promis font pâle figure.
Reprenant les mécanismes d’une dette "odieuse" et fustigeant l’hypocrisie des pays donateurs (qui sont souvent aussi créanciers), cet article vient à point nous rappeler que les malheurs conjoncturels ne doivent pas nous cacher les problèmes structurels.  lire

date de mise en ligne : 14 février 2005

GOUMEZIANE Smaïl

Mettre fin à la tyrannie de la dette

Le Tribunal international de la dette qui s’est tenu à Porto Alegre les 1er et 2 février 2002, symbole de l’alliance de la raison et de l’éthique, a rendu un verdict des plus clairs sur la question de la dette des pays du tiers monde : Elle est illégitime, injuste et insoutenable aux plans éthique, juridique et politique. En conséquence, il propose un certain nombres de recommandations, qui reprennent, pour l’essentiel celle que nous faisons dans cette communication. Pour mieux les comprendre, (...) lire

date de mise en ligne : 3 septembre 2004

Plate-forme Dette et développement

La dette face à la démocratie

> Rapport 2003 de la Plate-forme Dette et développement, mars 2004, 80p.

http://www.dette2000.org/data/File/r (...)

Sommaire :
- Première partie : l’Initiative PPTE : bilan et perspectives

  • Chapitre 1 : A perpétuité ? Les pays pauvres toujours prisonniers de la chaîne de la dette
  • Chapitre 2 : Une soutenabilité insupportable - Comment définir un niveau d’endettement acceptable ?

- Deuxième partie : La Politique française d’annulations de dette
  • Chapitre 3 : Au-delà des effets d’annonce - L’Aide publique au développement française à l’épreuve des faits
  • Chapitre 4 : De l’Initiative PPTE au C2D - Bilan d’un mécanisme peu convaincant

- Troisième partie : Quelle participation pour la société civile ?
  • Chapitre 5 : La dette, un enjeu pour la démocratie au Cameroun - Genèse du programme concerté pluri-acteurs (PCPA) Cameroun

- Annexes
  • Bilan 2002-2003 des activités de la Plate-forme Dette & Développement
  • Document de référence de la Plate-forme Dette & Développement
 lire

date de mise en ligne : 30 juillet 2004

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